vendredi 3 avril 2015

Pour Pâques un sacré mal aux fesses

Joyeuses Pâques tout le monde !



(Un joli dessin de Monsieur Geff pour vous souhaiter un superbe week-end de Pâques. Encore une qui va avoir du mal pour s'asseoir. Une petite anecdote à ce sujet.)

Je me souviens d'une des répliques de ma belle-mère - tout début de ma relation avec mon homme - quand je lui avait parlé des libertés de mon enfance et adolescence. Visiblement pas en accord avec mes parents sur certains points, elle s'est laissée aller pour exprimer son propre point de vue.

Les filles aussi ont besoin d'une éducation stricte !

Sous-entendu comme les garçons. Affirmation de plus sérieuse. Ayant eu d'entrée un fort courant de sympathie pour elle qui de plus a toujours été partagé, j'ai eu beaucoup de mal pour imaginer sa sévérité. J'ai également eu beaucoup de mal à l'imaginer jeune (une pin-up selon les photos que j'ai vu d'elle !), car elle avait déjà la soixantaine bien entamée à cette époque. Par contre j'ai pu me projeter sans mal dans la poésie d'une correction imaginée de la part de ma belle mère par le biais de photos de sa jeunesse ayant l'impression d'avoir affaire à une autre personne. Et j'ai toujours eu un faible que mon homme me déculotte en son absence pour me corriger bruyamment dans le cadre où s'est passé son enfance. J'ai pu donc discuter à maintes reprises avec ma belle-mère, mon derrière fraîchement châtié et par conséquence très brûlant.

Vous ne tenez pas en place aujourd'hui, isabelle ! Et ce n'est pas la première fois que cela vous arrive....

En fait, rien ne lui échappe. Excellente observatrice comme son fils, je pense depuis très longtemps qu'elle se doute de mon faible pour la discipline corporelle. L'idée qu'elle puisse s'en douter ajoute un très agréable piment à nos discussions et je me sens vraiment bien chez elle dans sa maison qui sent si bien la discipline stricte.

10 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    J'admire cette osmose entre la Maman de votre compagnon et vous. Elle semble comme l'étais un peu ma mère, très avenante et en même temps très attachée aux valeurs basiques qu'incombe une bonne éducation simple mais stricte. Et je pense que votre compagnon doit se réjouir d'une telle harmonie loin des clichés de rivalité Belle-Mère/ Belle -Fille (qui ont fait toujours les choux gras des écrivains et comédien/ne/s.) Ce qui n'empêche pas les sauts d'humeur et autres désaccords. Mais jamais devant les enfants répétait ma grand-mère maternelle.
    Vous êtes donc sur la même longueur d'onde, donc entre spécialistes " de la claque fessière".
    La fessée administrée "à la va-vite" en l'absence de la Maman, qui n'est pas dupe, au fond...
    Et puis la fessée donnée par votre compagnon est une manière inconsciente peut-être pour lui de dire à sa mère : "Regarde, Maman, c'est moi qui porte la culotte/le pantalon dans le couple".
    J'oserais dire une forme de douce vengeance de cette éducation reçue faite de tendresse et de fermeté.
    Personnellement, c'est dans cet esprit-là que je réagirais. Mais bon, j'extrapole un peu...
    La fessée reçue de la main de la Maman renforcerait-elle les bonnes relations Mère-Fils ?
    Un vaste programme , en somme...
    Bon WE. Mac-Miche.

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  2. Je ne pense pas que le retournement d'un fantasme de fessée pour ceux qui l'ont reçue enfant se fait de manière inconsciente, cher monsieur Mac-Miche. Je crois plutôt qu'il s'agit d'un positionnement qui se fait petit à petit pendant l'adolescence. Mais disons que pour ces messieurs ayant vécu une éducation stricte de la part de leurs mères, la tentation de vouloir inverser la situation à l'âge adulte et avec le consentement de la partenaire me paraît grande. De toute façon c'est bien mieux que de reproduire un tel schéma avec les enfants...

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  3. Bonjour Isabelle,

    Je suis bien d'accord avec vous. Tout se joue pour les sentiments envers les futures partenaires du sexe opposé à partir de l'adolescence, époque des premiers "tourments corporels" dans la vie de chaque être humain. Et c'est à chacun de trancher ce "nœud gordien". Les rapports d'éducation Mère-Fils alternent admiration et fermeté (ce que personnellement je ressentais à l'époque).Et cela d'autant que nous sommes alors des hommes en construction et nous devons obéir encore mineur aux injonctions et punitions maternelles. Et certains d'entre nous gardent ce besoin, une fois adulte , d'être fermement pris en main par les femmes : copine, épouse... D'autres en revanche s'affranchissent de cette "servitude psychologique" en ayant recours à la fessée conjugale admise , en principe, avec leur épouse, copine ou tout autre Femme qui partage leur vie.
    J'avais lu dans un magazine (Union, SM Mag ou un autre...) il y a quelques années, une anecdote plutôt loufoque : un quadragénaire célibataire après une dispute avec sa mère se passait les nerfs chez lui sur une sorte de poupée qu'il s'était confectionné avec un vieux traversin entouré d'une robe de sa mère et d'une culotte féminine: dans sa chambre, assis sur son lit , il posait la "poupée" en travers de ses genoux et la fessait, comme jadis, disait-il, sa mère avec lui, pendant l'adolescence. "Une fessée symbolique, à défaut d'être réelle, pour punir sa mère trop sévère avec lui " avait conclut la psychologue du magazine. Que penser de cette petite anecdote ? Episode réel ou imaginé ? Mystère ... Mais l'esprit humain est tellement parfois tortueux. Qu'en pensez-vous ? Mac-Miche

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  4. Voyez cher Monsieur Mac-Miche à l'adolescence la pulsion de la génitalité balaye toutes les autres sur son chemin et les mets sous sa tutelle. Il n'est plus question de la primauté des sentiments, même si l'être humain pour se donner de nobles aspirations souhaite y croire! Il faut alors trouver un moyen de s’adapter à cet impérieux ménage. Et subitement le fantasme de la fessée commence à chercher sa place dans une relation entre deux adultes. Et peu importe le compromis trouvé, loin de moi de critiquer une personne tant qu'elle ne se comporte pas de manière nocive envers autrui. Alors en ce sens je n'y vois rien de mal chez un monsieur qui donne une fessée à un traversin habillé en femme. Je m’inquiéterai beaucoup plus sur certains messieurs qui passent à l'acte et qui maltraitent et je pèse mes mots les fesses de vraies filles. Il y a des images concernant notre fantasme très dissuasives sur le net.

    Je trouve la réponse du psychologue crédible. Toutefois sur un niveau fantasmatique, j'aime bien me projeter à refaire l'éducation d'un tel grand garçon...

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  5. Chère Isabelle, je ne résiste pas à vous raconter une fessée « de Pâques ».

    J'avais attrapé mal à la gorge et j'étais d'humeur très désagréable, devant ma femme et d'autres personnes. Heureusement les enfants étaient partis.

    Une fois seuls, mon épouse m'a dit qu'elle allait s'occuper illico de mon mal de gorge et m'a demandé de passer aux toilettes et de bien me laver les fesses après. Sans surprise, quand je suis ressorti je l'ai trouvée assise sur le lit avec les suppos, le thermomètre électronique et du lubrifiant. Elle m'a pris la température, pas de fièvre, puis m'a mis un suppo.

    Alors la surprise: une grosse claque sur les fesses, puis une autre, et encore une autre... "maintenant je traite ta mauvaise humeur".
    Mon derrière a vite chauffé.

    Et alors deuxième surprise: "passe-moi ma brosse". J'étais sur ses genoux, j'ai tendu les bras pour ouvrir la table de nuit, sortir la brosse et la lui passer... La fessée a repris, toujours méthodique et fort claquante.

    Le fait d'avoir dû, en me dandidant le cul déjà rougi, passer l'instrument de la punition à ma fesseuse est resté comme un moment de punition supplémentaire!

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  6. Alors là vous m'épatez ! Je visualise très bien la scène. Je n'ai jamais entendu que le puni sur les genoux de la dame tende sa main pour chercher un autre instrument dans un tiroir à proximité. Excellente l'idée de votre dame !

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  7. Et ensuite elle m'a fait admirer le résultat dans un miroir!

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  8. La fierté du travail bien fait! Je ne puis que lui donner raison.

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  9. Et parce qu'elle sait qu'on se sent encore plus garçon puni quand on se voit le popotin rouge!

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  10. Effectivement dans les pratiques qui restent loin de tout abus, mettant l'accent sur la psychologie, le popotin rouge reste un symbole fort dans la discipline conjugale..

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