mercredi 29 juillet 2015

Pour le plaisir de la dame (petit clip)



Ayant un excellent bricoleur à la maison, je me suis aussitôt retrouvée dans ce petit clip. Surtout pour ma manière de faire des « tours du chantier » pour encourager mon chéri par mes belles tenues. Car plus encore qu'un martinet en main, l'effet d'une dame bien maquillée et joliment pomponnée n'est pas à sous-estimer. Puis il y a pour mes yeux aussi.

Déjà, quoi de plus sexy que de voir ce qu'un homme sait faire avec ses mains !

J'adore quand mon homme travaille torse nu et outre l’attirance physique qui plane sur la pièce, mon narcissisme aussi trouve son compte en me disant que mon chéri fait tout ce travail... pour moi. Pour nous créer un joli foyer. Ou comme il aime dire pour sa part :

Elle choisit les couleurs, isabelle et moi je fais tous le reste...

Certes je préférerais qu'il travaille en string en cuir au lieu de son éternel jeans. Je m'imagine à une petite table, confortablement installée devant un bon café, avec vu sur chantier. Et dans mes rêveries les plus folles, je me vois en compagnie d'une bonne copine commentant le travail de mon homme. Voila pour dire que le sadisme féminin prend parfois de drôles tournures...


lundi 27 juillet 2015

Au petit soin des chaussures de madame 2

En titillant sa virilité avec ma nouvelle cravache, il a trouvé le réconfort qui lui faillait pour vider son sac si j'ose dire. Il a enfin avoué sous la crainte que je ne renouvelle pas une certaine caresse qui lui semblait particulièrement agréable qu'il avait pris de très vilaines habitudes devant mes chaussures.

Devant mes belles chaussures ? Quel débauché. Il me le payera cher.

Très en colère sur le coup, je n'ai pas cédé à la tentation de lui arracher la peau de ses fesses comme me suggérait son offrande. J'ai pris du temps pour me calmer et pour réfléchir en laissant Édouard, muni de chiffons et de cirage, s’occuper de mes chaussures. Et Dieu sait que j'en ai. Je suis revenue de temps en temps pour contrôler le progrès de son travail. Des finitions impeccables. C'est tout mon Édouard que j'aime. Il ne fait pas les choses à moitie. Ce jour-là, il en a eu pour plusieurs heures et j'ai compris avec satisfaction que je tenais le bon bout pour mettre un peu de méthode dans son éducation.

Avec le recul, sa fantaisie autour de mes nouvelles cuissardes me paraissait très peu inquiétante. Plutôt extravagante certes, mais loin de mes associations sur ce que peuvent demander certains hommes aux dominatrices. Puis je suis une personne curieuse et je me suis posée la question de ce qu'il pouvait éprouver à chevaucher mes cuissardes. Au toucher j'ai trouvé leur matière très sensuelle. Alors étant seule à la maison, je voulais en avoir le cœur net . J'ai baissé mon string et j'ai commencé à explorer le côté érotique de mes cuissardes. Comme par enchantement, j'ai vite oublié le monde autour de moi, me trouvant ainsi, un bon moment plus tard, délassée et d’excellente humeur avec ma cuissarde quelque peu collante par les moiteurs de mon corps. Et comme m'avait dit Édouard, il a suffit d'un petit coup d'éponge pour faire disparaître les traces de mes activités en solitaire. Toutefois je savais que je n'allais recommencer cette expérience, mais elle m'a donné envie de récompenser mon mari pour son beau cadeau. Je lui ai alors envoyé un Sms à son bureau. C'est rare que cela m'arrive, car je sais que mari perds facilement sa concentration dans ce cas.

Pense à te raser de près et de bien te brosser tes dents avant de renter à la maison.. Je serais toute nue à part mes nouvelles cuissardes.

Il sait bien pourquoi je lui demande de se raser une deuxième fois dans une même journée et de se brosser les dents. J’attends une peau infiniment douce et une haleine fraîche de sa part pour me passer sa langue dans mon entrejambe. C'est très agréable d'avoir un séduisant homme à ma disposition et explique pourquoi je ne recours plus depuis notre mariage aux appareils de massage. Il sait très bien aussi que je vais profiter de la situation pour lui parler de choses importantes. J'aime deviner ses pensées par les secousses de sa langue. C'est ainsi que je lui avait parlé de toute une série de nouveaux rituels à appliquer en commençant le lundi suivant. Bien entendu jusqu'à ce jour, à partir de demain, il avait consigne de respecter une chasteté de plus stricte pour mieux pouvoir méditer sur mes propos. Pour ce soir par contre je lui ai offert une détente exceptionnelle, le droit de se frotter sur mes cuissardes en continuant à s'occuper de moi avec sa langue. Sous forme de rapport protégée... pour le précieux cuir, cela va de soi !

A suivre

lundi 20 juillet 2015

Au petit soin des chaussures de madame 1

Mon mari est très ponctuel le lundi soir.

Et ceci non seulement parce qu'en cas de retard injustifié je fais appel à sa cavalière de danse comme il me plaît parfois d’appeler chaleureusement notre martinet familial. Oh non, Édouard, est ponctuel ce jour-là, car la tache que je lui réserve le titille depuis son adolescence. C'est un grand moment de suspense pour lui. Le lundi je fais le choix de mes chaussures pour la semaine. Et s'il souhaite y retrouver les élégantes sandales à talons aiguilles ou les provocants escarpins en cuir verni, sans exceptions d'attentionnés cadeaux de sa part, il faut le mériter. Inutile de me flatter , cela ne prend pas. Inutile aussi de recourir aux promesses.

Je ferai des progrès plus vite, si tu mettais tes escarpins hauts avant de chercher le martinet pour me corriger, Marie-Hélène !

Ben voyons ! J'ai l'impression que parfois, il prend sa Marie-Hélène ouvertement pour une cruche. J'avais essayé une fois, sans conviction, avec seul résultat de me trouver devant mon mari sexuellement excité au point de me tacher ma nouvelle paire de bas. Ceci dit, sans me préoccuper de sa maladresse et surtout de mon désagrément, il a reçu une correction particulièrement sévère dont son derrière se souvient encore. Sans parler de sa mauvaise conscience qui s'exprime habituellement le mieux par les petites offrandes qu'il me pose sur mon canapé pour se faire pardonner. Je fus très touchée de découvrir un soir une grande boite, joliment empaquetée et contenant une superbe cravache et des cuissardes noires en cuir laqué.

Édouard a insisté sur le côté pratique de cette matière qui se nettoie en un clin d’œil en cas de soudain relâchement de son... sérieux.

Assez perplexe je lui ai expliqué que je ne le trouvais pas encore assez mur pour fréquenter les maîtresse sadomasochisme, mais en besoin d'une éducation avec des valeurs traditionnelles comme il le convient pour un vilain grand garçon qui rêve de tacher les habits de son épouse. Point de séances pour le plaisir de me faire obéir, mais du dur labeur pour lui en vu de soigner ses écarts du bon chemin. En mettant sa libido débordante au service d'une noble cause. Il a vite compris qu'il est allé trop loin dans ses demandes. Me parlant de ses pulsions harcelantes et indomptables. Du long combat avec son monde intérieur. Que tout seul il n'arriverait pas de s'inculquer une discipline pour retrouver de solides repères dans sa vie. J'ai appris alors sur le coup qu'il rêvait de frotter sa virilité jusqu'à la jouissance, la sienne, contre mes jambes gainées de ces belles cuissardes toutes lisses.

C'est fascinant à quel point l'écoute attentive réussit aux grands garçons !

Mon mari était dans tout ses états après sa houleuse confession. J'ai profité de la situation pour pousser plus loin ma curiosité. En examinant d'abord lentement et soigneusement la superbe cravache. Il s'est empressé de me dire à quel point il me trouvait attirante avec un tel instrument en main. Sans oublier de me sortir tout le mal qu'il pensait de notre martinet. Un flot de mots trahissant ses arrières pensées sur la très sévère éducation que je lui applique. Un grand garçon touché dans sa fierté de devoir faire sien le geste de baisser son pantalon et son caleçon à chaque fois que je décide le rappeler à l'ordre. Il en ressortait qu'il éprouvait ce traitement comme justifié, mais déshonorant par l'emploi d'un martinet à bon marché. Évidement, Édouard ne manque pas de goût de luxe dont je suis selon ses mots la plus belle preuve. Malheureusement pour lui, je lui fis part de ma détermination de maintenir en place une équipe qui gagne.

Tu seras éduqué au martinet, Édouard, tant que tes fesses en auront besoin ! La cravache n'est pas encore pour toi.



lundi 13 juillet 2015

Discipliner son mari de manière saine 3 (petite fiction; j'insiste!)

Du calme mon chéri, tiens ta position pour la vaseline. Tu ne voudrais tout de même pas que je te passe l'appareil de massage à sec, non ?

Malgré ses allures sévères et son intransigeance sur les punitions, la belle dame se veut une épouse aimante. Soucieuse du bien-être de son mari, ses directives et actions ne manquent pas de tendresse et de chaleur humaine. Et justement de la chaleur humaine, le mari - sous peu - va en recevoir beaucoup. Une correction de plus claquante par un douloureux passage du martinet sur ses fesses. Au début de leur mariage, madame a été perplexe en découvrant l'obscénité flagrante, générée par ce rituel. Se trouvant devant l'insolente gaule de son mari, à l'image d'un « matin triomphant », si cher à Victor Hugo. De plus, outre que jumelant un fessier, vivement strié et une tête rouge de malaise, Monsieur n'a pas tardé de pousser des cris d'inconfort. Alors Madame, voulant épargner à son mari toute ambiguïté commençant par le cris avec un pitre spectacle d'un authentique coq en rut, avait décidé d’instaurer - sur conseil médical - la détente préalable par voie rectale.

Pour le monsieur c'est le petit répit avant sa sanction. Habitué à ce procédé, il se laisse faire. Il n'y a personne pour pouvoir témoigner de son déshonneur. C'est déjà pas mal. Puis madame sait s'y prendre. Pas de geste brusque et une lubrification parfaite, permettent d'effectuer facilement et rapidement tous les gestes nécessaires pour que Monsieur puisse profiter de sa discipline sans qu'une érection vienne troubler son concentration.

Une érection pendant sa punition ? Mon mari n'est pas un vicieux,

...a-t-elle confié récemment avec fierté à sa meilleure amie. Cette dernière n'avais jamais tardé de complimenter le comportement exemplaire du mari sans trop comprendre comment un tel miracle puisse se produire de nos jours. Alors un jour propice, Madame a parlé du bienfait de la fessée sur un grand garçon. Or l’amie, familière avec ce châtiment, enduré jadis en sa présence par ses grands frères, avait pointé justement sur le redoutable effet secondaire en fixant des yeux notre mari qui ne savais plus où se mettre. De plus il fut vite amené par son épouse pour avouer son approbation de l'emploi du martinet sur sa personne.

Mieux vaut avouer mes rendez-vous avec martinet que mes séances de massage,

avait-il pensé pour se rassurer. Et le pense encore ce jour-là pendant que son épouse crée...

...de saines conditions pour sa punition.

Ainsi subira-t-il plus tard sa claquante sanction sans vils écarts de comportement. Ses fesses tendues, prêtes à endosser une discipline traditionnelle, il commencera très vite à transpirer sous l'effet des lanières du martinet. L'oreille tendue aussi, pour détecter le moindre sifflement du cuir, il ne lui échappera pas la respiration haletante de son épouse. Et il donnerait cher pour pouvoir lui passer sa main sous sa jupe pour

vérifier, si elle aussi ne se rend pas coupable de réactions indécentes de son corps.

Malheureusement le moment est mal choisi. Les yeux droit devant, il faut d'abord payer le prix de son insolence ! Se jurant de ne plus contrarier son épouse inutilement. Cependant il sait que le soir venu, Madame va montrer un entrain particulier pour les caresses conjugaux. Pour une fulgurante finale avec lui en position par dessus. Obligatoirement, vu le piteux état de ses fesses...

mardi 7 juillet 2015

Discipliner son mari de manière saine 2 (petite fiction)


Un préservatif mon chéri  ou puis-je compter sur ton sérieux pendant que nous travaillerons sur ton comportement ?

En mettant l'accent sur le mot « sérieux » elle fait allusion aux petits accidents de parcours, déjà survenus, qui tachent et qui fâchent par ce fait. Trahissant selon elle une attitude malsaine envers la discipline cul nu.

Non, hors de question que Monsieur prenne du bon temps en profitant du passage du martinet !

Et pendant qu'il déroule honteusement la petite chose caoutchouteuse, si étroite, autour de sa virilité, il ne peut s’empêcher de la comparaison avec l’étroit couloir de son épouse. C'est par là que se passent une bonne partie de leurs rapports conjugaux. L'épouse affectionne la contraception naturelle. Hélas, le tube de vaseline qui se trouve entre ses mains, va servir aujourd'hui à un autre emploi, moins réjouissant, moins glorieux. Surtout pour un homme comme lui, ne manquant pas de virilité dans sa présentation et de sa façon d'être.

Et maintenant les yeux droit devant et les mains au bon endroit mon chéri.

Veux dire écarter les joues du derrière pour exposer impeccablement ce petit endroit de l'anatomie masculine, susceptible à la pénétration et par lequel passe selon madame... l'égalité des sexes. Ce qui fait du bien à une petite dame, ne peut pas faire du mal à un grand monsieur. Rêve secret de Rousseau, être sollicité de présenter « l’objet honteux », lui par contre se sent plutôt embarrassé. Il regrette amèrement la perte de sa face et ne peut par conséquence que supposer ce qui se passe dans son dos. En imaginant le regard triomphant de son épouse qui commence ainsi un rituel bien rodé. Sachant qu'elle accorde une grande importance pour qu'il vaque « détendu » à sa correction. Jugeant un acte masturbatoire indécent comme préparatif dans une situation punitive, elle s'est renseignée auprès de son docteur, une dame fort énergique comme elle, pour d'autres solutions adaptés pour calmer les élan pervers de son mari.C'est ainsi qu'elle a pris connaissance de la technique du massage rectal par le biais d'un appareil vibrant qui peut concurrencer par sa forme et sa taille ce qui fait habituellement la fierté d'un homme. Essai concluant qui amène depuis régulièrement son mari...

...à décharger rapidement son fusil.

Expression apprise étant jeune mariée. Non, elle ne l'a pas appréciée du tout. Toutefois, elle peut se vanter de ses méthodes éducatives. Monsieur rougit désormais copieusement à chaque fois quand cette allusion fait surface. Et il en va de soi que ces mots n'effleurent plus sa bouche.

Mais oui, nous utilisons parfois des préservatifs ! N'est-ce pas chéri !

Il a horreur de telles confidences devant les amis et personne ne se doute pourquoi il se tait promptement quand le sujet vient sur la table. Madame tient scrupuleusement à la propreté du foyer. Et la boite de préservatifs dans la chambre sert exclusivement pour les grandes occasions. Chaque préservatif manquant, une correction de taille. Il lui arrive de faire les comptes pour évaluer ses besoin en matières de discipline. Se tenir convenablement n'est pas aisé vu les exigences de sa dame. Alors il essaye de visualiser ces progrès, le nombre de jour de ses bons comportements. C'est dur de dépasser le seuil de trois semaines sans punition. Le martinet commence à lui manquer. L'atmosphère à la maison se charge et devient irrespirable. Heureusement son épouse, familière avec les méandres de l'âme de son mari, juge inadmissible de laisser un homme plus de quatre semaine sans lui rappeler les bases d'une éducation stricte. Sinon il risque de perdre le réflexe de baisser son pantalon quand il le faut.

A suivre...

samedi 4 juillet 2015

Appliquer la méthode grecque


Non aucun rapport avec l'actualité !

C'est la faute de ces beaux messieurs en smoking et nœud papillon qui me donnent de vilaines idées. Je me verrais bien soumettre, dans mes rêveries de Maîtresse isabelle, mon chéri à un strict règlement de maison.

C'est toujours structurant pour un grand garçon de savoir où il en est avec sa dame.

De plus le dur labeur constructif lui évite de tourner en rond et de se glisser les doigts dans le caleçon pour passer son temps. Alors pour l’occuper dignement, je me verrais bien de le charger de 12 taches à effectuer de manière périodique. Seulement n'est pas maîtresse qui veut. Cela ne s'improvise pas en un claquement des doigts. Et j'ai vais avoir un certain mal pour lui trouver ses douze taches qui feront chacune l'objet d'un petit récit. J'ai commencé avec un petit texte sur les joies de cirer les escarpins de sa dame et il y aura aussi au programme le lavage des petites culottes, bas, guêpières, porte-jarretelles et autre choses qui mettent une dame en valeur. Toutefois il me manque encore des travaux à accomplir pour arriver à douze. Je cherche des idées... désespérément !