samedi 6 août 2016

Souvenir de vacances cuisantes

Petit extra pendant ces vacances d'été! Une mini bd aimablement proposée par l'ami Geff  et inspiré par un des mes textes.

(Un fantasme de fille au pair dans une famille traditionnelle. Mes efforts pour me faire remarquer par le fils de la maison, la mise en route d'une petite histoire amoureuse avec expérience intime. Jusque-là rien de plus banal. Seulement la dame de la maison ne voyais pas de bon œil mes tentatives de corrompre son fils. Elle m'a prise donc à part pour une discussion entre femmes et à la fin j'ai du baisser mon jeans et ma culotte pour recevoir une bonne fessée dans la règle de l'art. Parfois à la main, parfois avec un instrument de préférence typiquement allemand comme un courte et fine baguette bien souple. S'agissant de fantaisies sans connexion avec la réalité, ne se basant nullement sur des expériences autour de la douleur, mon émoustillement se construisait surtout autour de mes tendances exhibitionnistes de devoir présenter mon fessier tout nu à la discipline. Ce qui fut confirmé par la suite de mes rêveries où je me voyais corrigée devant le fils de la maison, voire devant la famille au grand complet).





17 commentaires:

  1. Bonjour Isabelle,

    Excellente retranscription picturale de votre récit.
    Les moments forts sont respectés. Décor strict. L'essentiel est montré. D'ailleurs je mettrais presque une petite suite comme vous les appréciez. Au choix .
    Encore merci pour cette petite récréation estivale.
    Je me souviens de certains de mes camarades du Collège qui profitaient de la naïveté de leurs correspondants en visite pour leur faire répéter parfois en cours des... expressions fleuries dans notre belle langue. Pas toujours du goût de notre professeur d' Anglais qui les envoyait faire un petit tour chez la Directrice... C'est un autre temps...
    Mac-Miche.

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  2. Moi aussi je trouve mon petit récit parfaitement retranscrit.Les vacances d'été étant encore longues, si vous avez une suite, je n'ai rien contre une nouvelle publication. Moi pour ma part je reprendrai ce blog avec grande probabilité pas avant la mi septembre. Trop d'obligations ailleurs...

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  3. Force est de constater que les vacances d'été ont laissé à plus d'un(e) de cuisants souvenirs d'adolescence. C'est l'époque de l'année la plus propice aux bêtises et, par voie de conséquence, aux corrections. J'ai, pour ma part, un cuisant souvenir de l'été 95. Il faisait très sec cette année là et, malgré l'interdiction parentale, je commençais à fumer parfois quelques cigarettes en cachette au fond du jardin. Mal m'en a pris : un jour, un mégot mal éteint a provoqué un départ de feu qui se serait propagé au champ du voisin s'il n'avait pas été maîtrisé à temps. Ma sœur étant absente, les soupçons de ma mère se sont tout de suite portés sur moi et ma culpabilité a vite été établie. Dans la mesure où ma désobéissance avait failli causer un grave incendie, ma mère a estimé que l'affaire était suffisamment sérieuse pour justifier une punition mémorable. La fessée qui commençait à tomber en désuétude à la maison, fut remise en vigueur : je l'ai reçue déculotté à coups de chausse-pied à long manche. Bien que ma mère me l'ait administrée à huis clos, mon humiliation ne resta pas longtemps secrète : tout le voisinage sut qui était l'auteur de la bêtise et comment il en avait été corrigé. Quelle blessure d'amour-propre, surtout devant les filles du quartier que ma mésaventure édifiait et émoustillait à la fois... En tout cas, cela m'a définitivement passé l'envie de fumer !

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  4. Cher Tom, je dois admettre étant assez peste tout de même, que j'aurais pris plaisir dans pareille situation de me moquer de votre mésaventure. Notamment vers l'adolescence. Quelle idée aussi de mettre -bien que par inadvertance - le feu au voisinage ! Merci pour l'anecdote !

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    1. Certaines n'ont pas manqué de réagir comme vous l'auriez fait, chère Isabelle. D'autres, pour satisfaire leur curiosité, m'ont carrément posé la question : "C'est vrai que ta mère t'a obligé à baisser ta culotte ?" Mais, à mon avis, même les plus "pestes" d'entre elles ont dû se dire que ma punition, approuvée dans l'ensemble par le voisinage, constituait un fâcheux précédent que leurs parents risquaient d'imiter...

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  5. Possible, mais n'oubliez pas non plus la curiosité des filles. Imaginer un garçon ado se faire déculotter par sa mère ou son père stimule fortement la fantaisie. Puis la fessée permet des aperçus de tout genre. Peut-être les filles sont moins sages dans leur fantaisie que les garçons?

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    1. C'est vrai que la fessée stimule l'imagination des filles. Je me souviens, un peu plus tard, d'un repas à la maison avec ma petite amie de l'époque. A un moment donné de la conversation, le thème des punitions est arrivé le tapis. Aussitôt je commence à me sentir mal sur ma chaise, craignant que ma mère n'en vienne à raconter la déculottée qu'elle m'avais flanquée l'été d'avant. Ce n'était pas la première fois qu'elle me faisait le coup ! Mais à chacune de mes tentatives pour changer de sujet, ma petite amie relançait ma mère sur la question. "Et Tom ? A-t-il souvent été puni ?" Il n'en fallait pas tant pour délier la langue de mère. Toute honte bue, je dus écouter jusqu'au bout le récit circonstancié de ma dernière fessée. Ma petite amie n'en perdit pas une miette. Par la suite, c'est devenu un sujet de plaisanterie entre nous : "Tom", grondait-elle, "tu veux que j'appelle ta maman ? Elle va venir te donner une fessée devant moi !"

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  6. Bonjour Mr Tom,

    Décidément, la curiosité des filles est impayable. Je comprend bien votre embarras même si nos mamans semblent à mille lieux de notre gêne. Cette "marque d'autorité" flatte en quelque sorte leur autorité naturelle. Pour notre plus grande honte !!!
    Et comment ensuite jouer les charmeurs auprès de sa petite amie après une telle confession ? Damned !!!
    Retourner la thématique peut s'avérer une autre manière de la séduire : lui administrer à son tour la punition qui la faisait rire quant vous en étiez l'infortunée victime. Après tout ? Curieuse leçon de charme, je vous l'accorde. Mais tous les goûts sont dans la nature, dit-on ?
    Mac-Miche.

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  7. Il arrive que ma belle mère parle des fessées appliquées à mon homme. Dans ces cas je suis toujours très attentive. Puis loin de moi de critiquer une génération qui "croyait bien faire". Je prend même un malin plaisir de poser tout genre de questions.

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  8. Le jour où les filles se réconcilieront avec leur belle-mère, il risque de faire chaud... pour nos fesses, à nous les garçons ! Qui sait si ces dames ne trouveraient pas un terrain d'entente pour nous corriger chacune à tour de rôle ? Nous-mêmes y trouverions peut-être notre compte : trop heureux si, pour apaiser les discordes entre elles, nous pouvions leur offrir nos fesses coupables en sacrifice. La mère pourrait transmettre sa longue expérience à sa belle-fille, la conseiller, lui montrer comment s'y prendre pour châtier "comme il faut" son grand fils. Lequel, pour sa part, ne tardera pas apprendre à ses dépens que les fessées déculottées de maman, qu'il craignait tant jusqu'à l'adolescence, étaient bien moins sévères que celles qu'il commence à recevoir maintenant des mains de sa charmante compagne...

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    1. A vrai dire, j'aime bien l'idée d'éduquer un mari. Notamment quand la méthode se base sur les précieux conseils de ma belle-mère. Je ne serais certainement pas abusive, mais je ne passerais sur aucun mauvais comportement. Je serais du style "beaucoup d'amour", sans manquer de sévérité.

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    2. Ne vous êtes vous jamais servi des instruments de belle-maman ? Croyez-moi, cela rappellerait de fichus quarts d'heures à votre homme ! Quand je vais chez ma mère, il y a toujours à l'entrée, dans le porte-parapluie, le chausse-pied qu'elle utilisait parfois pour nous punir, ma sœur et moi. Avec son manche long et souple et sa large spatule, il fait presque penser à une cravache. Bien que mes fesses n'en aient plus senti les effets depuis une vingtaine d'année, j'éprouve encore à sa vue un mélange de crainte et de nostalgie. Comme si cette férule maternelle menaçait encore de sévir...

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    3. Ah, les instruments de ma belle-mère, c'est un longue histoire que j'ai abordée ici . Le comprends donc parfaitement vos émotions en entrant chez votre maman, cher Monsieur Tom !

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  9. Bonjour Mr Tom,

    Voilà une autre facette à envisager... en pensée ! Rires.
    Voyez, votre remarque me rappelle un dessin humoristique dans un vieux magazine où les pages "people" (comme l'on dirait aujourd'hui) alternaient avec les pages d'humour dessiné : le dessin représentait un homme rentrant chez lui, exténué après une journée de bureau et qui, en voyant son épouse et ses deux filles, s'écrie : deux filles et la mère font trois diables pour le père ! Bonjour l'ambiance !!!
    Mais comme dit l'adage populaire (?): Qui aime bien...châtie bien !
    La main qui caresse est aussi la main qui punit. Nos vertes années en savent quelque chose sur le sujet. Non ?
    Quant aux relations Belle-Maman/Bru, les choses ont quant même changé de nos jours. Les femmes sont indépendantes et financièrement actives Dans l'ancienne génération (née avant guerre), seul le mari faisait bouillir la marmite et l'épouse était dévouée à son ménage. Donc elle devait aussi subir les réflexions parfois désobligeantes de sa belle-mère, du style : "C'est grâce à mon fils si...etc... ".
    Et le mari est aussi tiraillé entre Maman et épouse/compagne... et doit gérer la situation. Il peut éventuellement compter sur le soutien furtif de son père, avec ces mots : t'en fait pas, fiston, j'ai vécu la même chose avec ta mère !
    Enfin ,on peut toujours rêver. Bon WE.
    Mac-Miche.

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  10. Tout comme TOM j'ai reçu une fessée déculottée à 15 ans devant ma copine de 14 ans
    Voici les faits . Nous étions à la campagne en week end et pour me faire plaisir ma mère avait invité ma copine d'enfance ANNE
    Nous avions installé la table de ping pong dans le jardin et nous jouions depuis plus d'une heure lorsque ma mère vint nous interrompre pour mettre le couvert car il était midi passé
    Je continuai à jouer sans écouter les propos de ma mère
    " Jean-Philippe , je t'ai demandé de venir mettre le couvert je ne le répèterai pas une 3ème fois ne m'oblige pas à venir te chercher avec une fessée !"
    A 15 ans , je ne pensais pas ma mère capable de me donner une fessée surtout en présence de ma copine d'enfance
    je répondis sans réfléchir aux conséquences :" Tu me fais chier je termine la partie et la fessée " dans tes rèves !!"
    J'aperçois ma mère changer de visage et fondre sur moi . Je lache ma raquette et cours vers le fond du jardin mais ma mère , prof de gym , me rattrape et m'empoigne par le bras et me ramène devant ANNE restée devant la table de ping pong
    Et là , c'est le cauchemar de ma vie car ma mère met la punition à exécution sans que je puisse me défendre
    Elle me déculotte en 5 secondes puis me coince entre ses jambes et commence à claquer mon derrière
    Je ne tarde pas à pleurer mais les dernières claques sont si fortes que j'éclate en sanglots devant ma copine
    Ma mère me relève et me fait la morale en me disant que je ne suis pas sa copine pour lui parler ainsi puis m'envoie me laver le visage car les larmes envahissent mes yeux
    Je quitte ma mère et Anne très vexé d'avoir été puni comme un petit garçon
    Heureusement Anne m'a réconforté dans la journée et m'a avoué qu'elle recevait aussi des fessées devant ses frères
    Depuis ce jour je n'ai plus insulté ma mère et je n'ai plus été fessé

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    1. Je n'ose pas imaginer la déculottée que j'aurais prise, si je m'étais permis de répondre aussi mal à ma mère ! Oh là là ! Je crois que ça aurait vraiment bardé !

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    2. Quant aux fessées que ma sœur recevait elle aussi de temps en temps, j'ai rarement eu la chance d'y assister. Ma mère n'abusait pas des corrections en public. Elle ne jugeait pas utile d'outrer l'humiliation. En général, si nous avions fait une bêtise ma sœur ou moi, nous avions affaire à elle seul à seul entre les quatre murs de notre chambre ou de son bureau.
      Je me souviens seulement qu'un soir, en rentrant du collège, un silence inhabituellement lourd régnait à la maison. "Emilie est à la danse ?", demandai-je à ma mère qui descendait l'escalier menant à nos chambres. "Non, ta sœur est punie ce soir, avec interdiction de sortir", répondit-elle sèchement. "Quant à toi, Thomas, viens me montrer les devoirs que tu as à faire." "Chaude ambiance !", me dis-je en moi-même. Puis, ayant suivi ma mère au salon pour lui montrer mon cahier de texte, elle se pencha pour ramasser une petite culotte féminine qui, connaissant l'obsession de ma mère pour le rangement, n'était pas arrivée par terre sans raison. Je compris alors que ça venait juste de chauffer entre là mère et la fille et que Maman n'était sûrement d'humeur à plaisanter. Et comme je craignais beaucoup qu'elle ne s'informât d'un devoir où j'avais eu une inexcusable mauvaise note, je sentis pendant toute la soirée que mes fesses non plus n'étaient pas à l'abris dans mon petit pantalon...

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