mercredi 16 décembre 2015

Remise dans le droit chemin 1 (petite fiction)

Nouveau petit feuilleton pour finir l'année en beauté !

Étant célibataire, Édouard, mon futur mari, un très gentil garçon ceci dit, a été un grand amateur de magazines de charme. Je fus ébahie en aménageant dans sa garçonnière non seulement par la quantité de matériel obscène, soigneusement rangé par catégories, mais surtout par son audace de ne pas avoir fait le ménage. J'étais fortement vexée par tant de manque de tact envers moi. Je n'ai pas compris tout se suite pourquoi il n'avait pas fait table rase de son passé. Toutefois j'ai su instinctivement prendre les bonnes décisions.

Une de mes premières actions consista alors de tout mettre sous verrou jusqu'à nouvel ordre.

Le temps de réfléchir à tête reposée, si oui ou non cette impressionnante collection avait sa place dans notre couple. Si j'allais permettre à l'homme de ma vie de cultiver un jardin secret avec des fiancées sur papier glacée. Mais peut-être aussi de découvrir au fil du temps une signification cachée de ces piles ostensiblement présentées qui m'échappait pour l'instant. En attendant j'ai émis une stricte interdiction de consulter quoique ce soit sans mon autorisation expresse.

Mon fiancé accepta sans le moindre signe de rébellion comme s'il avait attendu que je prenne désormais sa vie en main.

Étant très curieuse, j'ai commencé en son absence - Édouard doublait à cette époque son année de licence en sciences économiques – de feuilleter soigneusement ces ouvrages pour mieux comprendre les racines de cette étrange passion. Avant tout me sauta aux yeux que je me trouvais devant la majeure cause de son échec universitaire. Puis, selon l'usure de certaines pages, je n'ai eu aucun mal pour deviner pourquoi mon chéri affectionnait tel ou tel autre magazine. Le point en commun de toutes ces petites pièces de puzzle qui émergeaient au beau milieu de pures incitations masturbatoires, dévoila un goût fort prononcé pour ce que l'on pourrait appeler la discipline perverse.

A suivre...

mardi 15 décembre 2015

Chauffeur à tout faire

Le pauvre, il n'a pas la vie facile au service de Madame !

Visiblement inspiré par un de mes textes, l'ami Geff nous offre sa version de l'histoire !



Dessin : Geff

vendredi 4 décembre 2015

Montrer du respect à la dame 5 (Petites tranches de vie de couple)

Dessin:?
Je garde le meilleur pour la fin. La vérification de la face caché du mâle. Pour ce j'aime recourir à certaines petites phrases qui mettent à vif la sensibilité de mon mari, par exemple :

En position, jeune homme, comme si nous te mettions ton suppo de bonne nuit.

Depuis le temps et malgré tout le soin que j'apporte à cette partie de son anatomie, il n'est jamais très à l'aise pour me la présenter. Et pourtant il s'exécute sans broncher ! Car quoi de pire à imaginer pour me manquer du respect que de s'opposer à mes consignes.

Tu sais que cela te fait du bien de travailler sur ta pudeur, Édouard !

Maintenant, dans notre couloir d'entré, les jambes écartées, il se trouve penché en avant pour me présenter ce qui lui paraît le comble de l'indécence.

Voila un homme bien éduqué qui me montrer par sa position son respect pour le moindre de mes désirs.

Son respect aussi pour le règlement de notre maison, établi par mes soins. Les yeux droit devant, il peu me voir - souriante et triomphante- dans la grande glace devant lui. Et avant de rentrer au salon, il lui reste encore de se débarrasser d'éventuelles « poussières », amassées dans sa journée. Il a intérêt d'être honnête avec moi quand je lui pose ma rituelle question :

Édouard, ai-je raison d'être fière de toi aujourd'hui ou devrons nous travailler ton comportement au martinet ?

Le plus souvent son visage s'illumine pour me parler de ses exploits. D'autres fois, il en des choses peu glorieuses à me confier. Et une fois à peine audible il m'a avoué :

Je me suis comporté en vrai trou du cul, Marie-Hélène !

Je n'ai pu retenir un fou-rire spontané, compte tenue de l'impériale vue sur cet orifice même. Je pense que jamais mon Édouard n'a reçu plus sévère correction que cette réaction de ma part. Je me suis même abstenue de l'application du martinet ce soir-là...

vendredi 27 novembre 2015

Montrer du respect à la dame 4 (Petites tranches de vie de couple)



Depuis ce mémorable jour, notamment en périodes de chasteté prolongée, Édouard s'exprime avec véhémence contre la banalisation de la masturbation de nos jours. L'abstinence le met facilement dans un état de grande nervosité au moindre contact avec la tentation. Au lieu de chercher à satisfaire ses pulsions en cachette, il se contente de développer une côte moraliste qui lui va très bien d'ailleurs. Il trouve scandaleux les publications de charme qui incitent avec de suggestives images à un recours sans retenue à la vilaine main. Non, lui il ne garde pas au fond de son armoire en souvenir du temps de son célibat une pile de revues douteuses. Non, lui quand il va sous la douche, il ne profite pas de ce moment d'intimité pour se livrer à un honteux auto-érotisme. Non, lui quand il est envoyé au lit pour méditer sur ses écarts de comportement se contente de son suppositoire relaxant et de sa fantaisie pour trouver le sommeil. Et je ne doute pas de son sérieux, car il lui arrive de temps en temps de petits accidents nocturnes que je tolère sans le dire expressément, car ils expriment un bon fonctionnement de sa virilité. Alors pour garder les apparences, Édouard reçoit un rappel à l'ordre.

Je ne me contente pas de bon mots, mais je recours à du bien concret pour qu'il se remette réellement en question. Chez nous le rappel à l'ordre se présente sous forme d’objets en silicone, étudiés pour s’insérer facilement dans l'orifice par lequel dit-on passe la discipline. C'est ainsi préparé, dans une nudité paradisiaque qu’Édouard se charger de frotter les draps souillés avec une bonne lessive. Je profite de l'occasion pour lui passer ma lingerie fine qui demande des soins en délicatesse. C'est un travail dont il raffole comme témoigne la belle érection qui accompagne cet exercice quelque peu rythmique.

Quoiqu'il en soit, grâce à la chasteté imposée quand j'ai envie de mon mari, je me trouve régulièrement devant un partenaire de plus inspiré, sensible au moindre acte de séduction de ma part. Le soir, lors de notre rituel, je peux compter sur sa libido en pleine forme, illustrée de manière édifiante, ostensiblement tendu vers moi pour confirmer tout le bien qu'il pense de l'éducation qu'il reçoit chez moi. Je profite de cet instant de grande intimité pour lui prodiguer de stimulantes caresses. Rien ne soude un couple autant que la tendresse régulière. Et lui pour sa part n'est pas avare de compliments concernant mon auguste personnes et ma présentation. Il a le droit d'explorer ce que je porte sous mes jupes et également de glisser délicatement ses doigts dans ma culotte. Quand l'envie me chante, je lui permet également de faire usage de sa langue pour me montrer son enthousiasme envers mes parties intimes. Il arrive également – bien que plus rarement - que me m’occupe de lui de la même façon.

A suivre...

lundi 23 novembre 2015

La pénible cliente

la pénible cliente... c'est moi !

Que ce soit dans un magasin de vêtement ou à la coupe dans un supermarché, je sais très bien ce que je veux. J'avais même fait un récit à ce sujet. (Clip à l'appui!) Et gare au vendeur ou à la vendeuse quand je ne suis pas satisfaite de ce que l'on me propose. Je suis encore plus redoutable en compagnie de mon homme. D'ailleurs les courses, peu importe leur nature, nous les faisons ensemble. Comme dans un cliché sur les couple traditionnel, c'est moi qui mène les négociations et mon homme se contente de porter ce que j’achète.

Un homme soumis ?

Ben non ! Pensons plutôt au vieux diction qui dit :

Ce qui se ressemble, s'assemble !

Car quand malgré ma meilleure volonté je n'arrive pas à avoir satisfaction, c'est lui qui s'enmèle. Et à vrai dire, mieux vaut avoir affaire à moi qu'à lui. Toutefois tout m'est permis sauf agacer mon chéri.

Visiblement je ne suis pas la seule qui aime rêver autour de cette situation. Voici deux ravissants dessins de l'ami Geff qui mettront un peu de visuel sur ce qui reste bien souvent caché derrière les/mes mots.


© Dessins Geff

vendredi 20 novembre 2015

Montrer du respect à la dame 3 (Petites tranches de vie de couple)

Ainsi trouve-t-on mon Édouard derrière son grand bureau, le feu aux fesses, méditant entre deux dossiers sur son besoin très concret de vouloir se libérer d'une tension qu'il juge comme insoutenable. Certes, la discipline matinale comme il aime confirmer, lui donne le mordant nécessaire pour être plus qu'à la hauteur de la tâche qui lui incombe. Malheureusement, la chair est faible et son intérêt pour la tâche risque parfois se transformer dans un attrait pour d'autres sortes de taches. Bref, au lieu de se concentrer sur son travail, ses pensées vont ailleurs. Avec comme conséquence non seulement une perte d’énergie précieuse comme j'ai pu constater un jour à nos débuts.

Je m'étais posée des question sur la présence de préservatifs dans la poche intérieure de la veste du costume de mon mon mari. Craignant le pire, j'ai décidé de le surveiller étroitement. Étant la femme du chef de l'entreprise, il m'est facile d’accéder à son bureau sans que sa secrétaire sonne l'arme. Je pu donc surprendre mon Édouard la main dans le sac, si j'ose dire, en faisant irruption subitement dans son bureau au moment de l'éruption. Avec comme résultat un mauvais geste de sa part qui a laissé un terrain de plus collant sous un caleçon remonté en toute hâte. J'avais envie de rire et j'étais surtout soulagée de découvrir dans l'homme que j'aime un compagnon de plus fidèle se comportant en grand gamin. Toutefois il m'était impossible de passer sur ce comportement inadmissible.

Tu n'as pas honte Édouard de trahir ainsi mes efforts éducatives à ton égard ?

Non, il n'a pas fait le fier du tout et heureusement il a pris conscience de la gravité de son acte. Je l'ai fait regretter son geste pendant tout le week-end qui a suivi sa mésaventure. Jugeant sa habituelle gym trop éloignée de mes ambitions disciplinaires, je lui ai transmis mon goût pour la marche au pas. Habillé seulement de solides chausser de marche, il a appris à parader en long et en large dans notre maison et même au jardin.

J'avoue que la visions d'un mâle tout nu, suant sous l'effort d'une discipline de plus stricte ne me laisse pas indifférente.

C'est ce jour-là que je me suis souvenue du goût de l'antique Grèce pour les corps masculins glabres. Bien émoustillée à l'idée de découvrir mon mari lisse comme un Adonis, je l'ai fait marcher dans notre salle de bain où il a du - sous mes yeux ravis – se raser intégralement le corps. Longue et laborieuse entreprise qui demande souplesse et qui permet maintes aperçus d'une rare obscénité. Pour ne pas mettre mon mari trop dans l'embarras, pour préserver sa pudeur en quelque sorte, je l'ai fait recourir à un bouchon rectal qui allie l'utilité et l'élégance. Puis l'emplacement de cet objet a donné à mon recrut une expression de plus sérieuse pour la suite de ses exercices. Inutile de dire que le soir j'ai mis mon Adonis, huilé dans le moindre recoin, au service exclusif de mon plaisir pour se faire pardonner son infidélité manuelle...

A suivre

vendredi 13 novembre 2015

Montrer du respect à la dame 2 (Petites tranches de vie de couple)

Fort heureusement mon Édouard, mis à part quelques écarts qui se font de plus en plus rare, est au fond de lui un garçon désireux d'atteindre les objectifs que je lui fixe. Ils les poursuit avec autant de sérieux et mordant que les affaires de notre entreprise. Et il en veut du résultat. Il arrive donc fréquemment qu'il se confie à moi pour me parler de ses tentations sur le chemin de la vertu.

Pour éviter de se parer d'un air trop ridicule, il me parle de briefing « hygiénique ».

Caprice verbal que j'accepte avec le sourire, car cette habitude est un précieux allié qui m'a permis de découvrir ce qui se trouve de plus honteux aux recoins du jardin secret de mon époux.

Il semblerait que certains événements le rendent particulièrement nerveux. Par exemple ses séances éducatives au martinet ou autre instrument selon la gravité de ses erreurs de comportement, montrent de fortes effets secondaires sur lui. Bien évidement j'étais déjà au courant depuis longtemps. Il ne m'échappe pas quand il est envoyé pour méditer au coin après sa punition que son corps trahit ses idées peu chastes. Pour ma part dans ce cas j’adapte les conseils d'anciens manuel d'éducation pour grand garçons en faisant comme rien n'y était. Toutefois en face de tant d'obscénité involontaire, il m'arrive parfois de ne pas pouvoir m’empêcher de le rappeler à l'ordre:

Es-tu vraiment en train de méditer sérieusement sur tes méfaits, Édouard ?

Au cours de différentes confessions j'ai pris connaissance que mon mari détourne bon nombre de mes mesures éducatives comme support pour ses pensées peu louables. Certains jours alors quand il part au travail avec ses fesses toutes rouges sous son costume sur mesure la séance de discipline matinale l'inspire beaucoup.

A suivre...


vendredi 6 novembre 2015

Montrer du respect à la dame 1 (Petites tranches de vie de couple)

Le soir j’attends mon mari pour me saluer dignement en rentrant du travail. Nous appelons ce petit rituel :

Montrer du respect à la dame !

Après avoir posé sa mallette et après avoir suspendu sa veste de costume sur un cintre à la garde-robe, je l'invite à se mettre à l'aise. Je me réjouis quand il défait sa ceinture et déboutonne sa braguette pour laisser glisser son pantalon autour de ses chevilles. Puis c'est le tour de son caleçon. Ensuite, il convient de se baisser pour enlever les chaussures. Acte indispensable pour se débarrasser de ses vêtements tombés par terre sans abîmer les précieux tissus. Et voilà quand il se relève, un tout nouvel homme.

Enfin, plutôt un grand garçon défroqué devant sa dame et qui indique par sa posture qui commande à la maison.

J'aime pour l'occasion procéder à un judicieux contrôle de sa virilité. Je connais le vice de bien de grands garçons pour se masturber en cachette. Édouard n'en fait pas exception. Parfois en utilisant des endroits aussi peu glamoureux que les toilettes du bureau par exemple. Toutefois, à force d'une rigoureuse éducation stricte qui ne tolère pas d'écart il a fait sien une réflexe salutaire :

Son besoin de soulager son corps s'est lié à un besoin de soulager aussi sa conscience.

Apparaît alors en guise d'aveux un joli rouge sur son visage les jours qu'il s'est adonné à des activités honteuses qui lui sont strictement interdites. Je peux alors du premier coup d’œil facilement discerner, s'il y avait péché ou non. Et gare à ses fesses s'il s'installe le moindre soupçon de soulagement par la vilaine main.

A suivre

mardi 18 août 2015

Au petit soin des chaussures de madame 4 (suite et fin)


Malgré sa pudeur concernant les manifestations de son corps, mon Hercule n'est tout de même pas dispensé d'un minutieux contrôle de la propreté de ses parties intimes avant de commencer nos essayages. Je n'attends pas seulement de lui qu'il me présente soigneusement lavé sa fierté masculine.

Édouard, as-tu pensé à parfumer ta rosette ? Tu sais que je n'aime pas que tu sens le fauve quand j'écarte tes fesses.

Il respire un coup avant de me répondre quelque peu vexé :

Grâce à toi, Marie-Hélène, je bénéficie d'une éducation de qualité pour rattraper mes retards. Je me flatte d'avoir appris une hygiène irréprochable qui se voit et qui se sent.

Jugeant la sonorité de sa voix, je saisis facilement son insolence. Je lui laisse pour l'instant le droit de se défouler de manière raisonnable. De plus je supporterais mal qu'il se dote d'un véritable discours de soumis. Malgré mes élans et plans éducatifs à son égard, je tiens à conserver son côté mâle.

Ce qui le fâche, c'est le mot rosette.

C'est un affront à sa virilité qui conçoit cet orifice sous une appellation nettement moins poétique.

Si tu veux bien contrôler mon trou du cul, Marie-Hélène ?

Comme beaucoup d'hommes il se cache derrière un franc parler quelque peu grossier. Enfin, malgré ses grandes paroles, il n'est jamais vraiment à l'aise pendant que je contrôle son trou du cu.. et il attend avec impatience mon verdit. Quand tout va bien, son supplice prend fin par une sonore claque sur ses fesses. C'est le signal pour aller dans notre dressing où un confortable canapé m'attend, tandis que Édouard se charge de me passer les chaussures au pied. Il nous a même procuré un authentique meuble d'essayage de magasin. Petite attention qui m'a beaucoup touchée. Les chaussures que je ne trouve pas assez luisantes, se mettent de côté en attente des soins de mon mari. Redoutable avec la cire et le chiffon. Car croyez moi, il lui en faut de l'huile à coude, car je suis exigeante. Posé se fesses sur un petit tabouret, il sait s'appliquer avec ardeur Le résultat est saisissant. Non seulement émerge une brillance céleste sur le cuir auparavant terne, mais aussi l’exercice rythmique stimule la virilité de mon chéri.

C'est très agréable à regarder un monsieur avec une belle érection et qui ne puis se masturber car il a les mains
occupées.

Pour se calmer un peu, il commence même à se vanter de ne pas faire partie de ses branleur qui passent leur soirée devant des films de cul ! Il se flatte que sa stricte éducation au martinet qui lui a fait retrouver le chemin de la vertu. Qu'un martinet doive se trouver dans chaque ménage. Bref plus qu'il cire mes chaussures, plus il s'excite. Alors je me glisse derrière lui en murmurant dans son oreille :

Continue à cirer mon chéri. Oh oui, comme tu sais bien faire. Plus fort. Montre moi comment mes beaux escarpins font du bien à ta virilité.

Arrive enfin le grand moment de poser cirage et chiffon pour me faire admirer son œuvre titanesques. Un homme en sueur qui attend sa récompense bien mérité. J'aime qu'il se mette à quatre pattes pendant que je parade dans une paire de hauts escarpins, fraîchement cirés, dans la pièce. Pour chlore cette belle soirée en beauté, je me munis enfin du martinet avant de recourir à mon mari pour qu'il me serve de monture pour nous amener au lit. Demain il aura un dure journée au travail, des contrats à négocier.

Il se trouve particulièrement efficace le matin avec son popotin strié par le martinet.

Et moi je trouve que cela le rend encore plus viril. Alors surtout ne pas priver un homme qui réclame le martinet.

Comme je suis fière de son éducation !

Mais entre nous, il est surtout friand de sonores coups sur son derrière pour apaiser son esprit échauffé. Il en aura grand besoin, car il portera cette nuit sa cage de chasteté pour qu'il puisse profiter pleinement de son sommeil.

lundi 10 août 2015

Souvenirs cuisants de vacances



Un joli dessin de l'ami Geff qui colle parfaitement à cette époque de l'année et à mon goût particulier pour la montagne. Le Tyrol je connais. C'est une région magnifique. Mon homme l'a également hautement appréciée en la traversant en … vélo pendant sa jeunesse. Il garde un souvenir de superbes nationales avec des cerisiers des deux côtés à perte de vue. Il semblerait que le goût pour la fessée soit profondément ancré dans les coutumes locaux si on se fie à ces deux petit clip.



mardi 4 août 2015

Au petit soin des chaussures de madame 3


Ne considérant pas uniquement mon mari en dévoué serviteur à ma cause, mais aussi comme l'homme que j'aime, bien qu'en manque de discipline stricte, il en va de soi qu'il a son mot à dire dans le choix de mes chaussures et que son avis m'importe beaucoup. Il aura même le droit de me voir défiler devant ses yeux dans notre sélection finale.

Seulement, un tel privilège se mérite et il est bien connu que les dieux ont mis la sueur avant la récompense.

Pour étudier une aussi importante question et surtout pour constater de près les fruits de mes efforts vestimentaires, je l'attend pour débattre dans une tenu décontractée et adaptée pour satisfaire mes exigences. Par conséquence il se présentera après sa douche tout nu devant moi.

Tout nu, excepté de blanc gants en coton que j'exige de lui pour toucher mes précieuses chaussures.

Car et ceci est le premier inconvénient de notre cérémoniel du lundi, mon homme a tendance de transpirer fortement à la vue de mes jambes gaines de bas et chaussées de hauts talons. S'ajoute que moi aussi j'aie envie de me mettre à l'aise pour mes essayages. Nous sommes entre époux et Édouard ne voit aucune objection que procède en bas et guêpière. Je me passe de culotte pour mieux mettre en valeur ce qui se cache en dessous.

Mon pubis aux poils taillés très courts, façon d'un gazon anglais, en forme de couronne pour me donner une allure royale.

Mais hors de question pour mon prince d'y mettre son sceptre quand bon lui semble. Totalement imberbe pour sa part sur mon initiative, il a dû apprendre que dans notre ménage la présence de poils office comme signe d'autorité. C'est celle qui porte les poils qui tient le manche et c'est celui qui s'affiche glabre comme une statue grecque qui le reçoit les lanières sur ses fesses quand il n'est pas à la hauteur de ce qui lui est demandé.

Quant à mon entrejambe, juste à la bonne hauteur pour les yeux de mari qui se trouve à genoux devant moi pour mieux pouvoir m'aider à enfiler mes escarpins, j'affiche une peau lisse et soigneusement huilée pour l'occasion. Voila qui évite ses incessants regards d'antan pour guetter la moindre trace d'humidité naturelle.

Il lui est strictement interdit d'y toucher sous peine de perdre son droit de masturbation que je lui accorde de temps en temps.

C'est un sujet qui le gêne hautement et qu'il ne souhaite pas abordé à vive voix. Mon mari - malgré sa férocité au travail - est avant tout un homme tendre et romantique. Il n'est pas fier de ses vilains penchants et souhaiterais en finir sincèrement avec ses habitudes de lecture à une main, prises pendant son adolescence. Nous y travaillons durement et ses progrès sont considérables. Malheureusement il y avait encore des rechutes. Il est bien connu qu'une éducation très stricte puisse montrer des effets secondaires.

C'est le retour du bâton qui active la fanatise de nos grands garçons sous la couette.

D'où mon idée de structurer ses heures de loisir pour empêcher l’oisiveté à s'installer et aussi pour créer une fatigue saine. Voila qui explique la mise en place de notre rituel du lundi. Qui d’ailleurs n'est que le début de toute sorte d'activés de mon homme et qui pourraient se résumer significativement sous l’appellation :

Les douze travaux d'Hercule

C'est mon esthéticienne qui m'a donné l'idée en me disant un jour en présence de mon mari :

Je vous le rend aussi lisse qu'une statue grecque !


mercredi 29 juillet 2015

Pour le plaisir de la dame (petit clip)



Ayant un excellent bricoleur à la maison, je me suis aussitôt retrouvée dans ce petit clip. Surtout pour ma manière de faire des « tours du chantier » pour encourager mon chéri par mes belles tenues. Car plus encore qu'un martinet en main, l'effet d'une dame bien maquillée et joliment pomponnée n'est pas à sous-estimer. Puis il y a pour mes yeux aussi.

Déjà, quoi de plus sexy que de voir ce qu'un homme sait faire avec ses mains !

J'adore quand mon homme travaille torse nu et outre l’attirance physique qui plane sur la pièce, mon narcissisme aussi trouve son compte en me disant que mon chéri fait tout ce travail... pour moi. Pour nous créer un joli foyer. Ou comme il aime dire pour sa part :

Elle choisit les couleurs, isabelle et moi je fais tous le reste...

Certes je préférerais qu'il travaille en string en cuir au lieu de son éternel jeans. Je m'imagine à une petite table, confortablement installée devant un bon café, avec vu sur chantier. Et dans mes rêveries les plus folles, je me vois en compagnie d'une bonne copine commentant le travail de mon homme. Voila pour dire que le sadisme féminin prend parfois de drôles tournures...


lundi 27 juillet 2015

Au petit soin des chaussures de madame 2

En titillant sa virilité avec ma nouvelle cravache, il a trouvé le réconfort qui lui faillait pour vider son sac si j'ose dire. Il a enfin avoué sous la crainte que je ne renouvelle pas une certaine caresse qui lui semblait particulièrement agréable qu'il avait pris de très vilaines habitudes devant mes chaussures.

Devant mes belles chaussures ? Quel débauché. Il me le payera cher.

Très en colère sur le coup, je n'ai pas cédé à la tentation de lui arracher la peau de ses fesses comme me suggérait son offrande. J'ai pris du temps pour me calmer et pour réfléchir en laissant Édouard, muni de chiffons et de cirage, s’occuper de mes chaussures. Et Dieu sait que j'en ai. Je suis revenue de temps en temps pour contrôler le progrès de son travail. Des finitions impeccables. C'est tout mon Édouard que j'aime. Il ne fait pas les choses à moitie. Ce jour-là, il en a eu pour plusieurs heures et j'ai compris avec satisfaction que je tenais le bon bout pour mettre un peu de méthode dans son éducation.

Avec le recul, sa fantaisie autour de mes nouvelles cuissardes me paraissait très peu inquiétante. Plutôt extravagante certes, mais loin de mes associations sur ce que peuvent demander certains hommes aux dominatrices. Puis je suis une personne curieuse et je me suis posée la question de ce qu'il pouvait éprouver à chevaucher mes cuissardes. Au toucher j'ai trouvé leur matière très sensuelle. Alors étant seule à la maison, je voulais en avoir le cœur net . J'ai baissé mon string et j'ai commencé à explorer le côté érotique de mes cuissardes. Comme par enchantement, j'ai vite oublié le monde autour de moi, me trouvant ainsi, un bon moment plus tard, délassée et d’excellente humeur avec ma cuissarde quelque peu collante par les moiteurs de mon corps. Et comme m'avait dit Édouard, il a suffit d'un petit coup d'éponge pour faire disparaître les traces de mes activités en solitaire. Toutefois je savais que je n'allais recommencer cette expérience, mais elle m'a donné envie de récompenser mon mari pour son beau cadeau. Je lui ai alors envoyé un Sms à son bureau. C'est rare que cela m'arrive, car je sais que mari perds facilement sa concentration dans ce cas.

Pense à te raser de près et de bien te brosser tes dents avant de renter à la maison.. Je serais toute nue à part mes nouvelles cuissardes.

Il sait bien pourquoi je lui demande de se raser une deuxième fois dans une même journée et de se brosser les dents. J’attends une peau infiniment douce et une haleine fraîche de sa part pour me passer sa langue dans mon entrejambe. C'est très agréable d'avoir un séduisant homme à ma disposition et explique pourquoi je ne recours plus depuis notre mariage aux appareils de massage. Il sait très bien aussi que je vais profiter de la situation pour lui parler de choses importantes. J'aime deviner ses pensées par les secousses de sa langue. C'est ainsi que je lui avait parlé de toute une série de nouveaux rituels à appliquer en commençant le lundi suivant. Bien entendu jusqu'à ce jour, à partir de demain, il avait consigne de respecter une chasteté de plus stricte pour mieux pouvoir méditer sur mes propos. Pour ce soir par contre je lui ai offert une détente exceptionnelle, le droit de se frotter sur mes cuissardes en continuant à s'occuper de moi avec sa langue. Sous forme de rapport protégée... pour le précieux cuir, cela va de soi !

A suivre

lundi 20 juillet 2015

Au petit soin des chaussures de madame 1

Mon mari est très ponctuel le lundi soir.

Et ceci non seulement parce qu'en cas de retard injustifié je fais appel à sa cavalière de danse comme il me plaît parfois d’appeler chaleureusement notre martinet familial. Oh non, Édouard, est ponctuel ce jour-là, car la tache que je lui réserve le titille depuis son adolescence. C'est un grand moment de suspense pour lui. Le lundi je fais le choix de mes chaussures pour la semaine. Et s'il souhaite y retrouver les élégantes sandales à talons aiguilles ou les provocants escarpins en cuir verni, sans exceptions d'attentionnés cadeaux de sa part, il faut le mériter. Inutile de me flatter , cela ne prend pas. Inutile aussi de recourir aux promesses.

Je ferai des progrès plus vite, si tu mettais tes escarpins hauts avant de chercher le martinet pour me corriger, Marie-Hélène !

Ben voyons ! J'ai l'impression que parfois, il prend sa Marie-Hélène ouvertement pour une cruche. J'avais essayé une fois, sans conviction, avec seul résultat de me trouver devant mon mari sexuellement excité au point de me tacher ma nouvelle paire de bas. Ceci dit, sans me préoccuper de sa maladresse et surtout de mon désagrément, il a reçu une correction particulièrement sévère dont son derrière se souvient encore. Sans parler de sa mauvaise conscience qui s'exprime habituellement le mieux par les petites offrandes qu'il me pose sur mon canapé pour se faire pardonner. Je fus très touchée de découvrir un soir une grande boite, joliment empaquetée et contenant une superbe cravache et des cuissardes noires en cuir laqué.

Édouard a insisté sur le côté pratique de cette matière qui se nettoie en un clin d’œil en cas de soudain relâchement de son... sérieux.

Assez perplexe je lui ai expliqué que je ne le trouvais pas encore assez mur pour fréquenter les maîtresse sadomasochisme, mais en besoin d'une éducation avec des valeurs traditionnelles comme il le convient pour un vilain grand garçon qui rêve de tacher les habits de son épouse. Point de séances pour le plaisir de me faire obéir, mais du dur labeur pour lui en vu de soigner ses écarts du bon chemin. En mettant sa libido débordante au service d'une noble cause. Il a vite compris qu'il est allé trop loin dans ses demandes. Me parlant de ses pulsions harcelantes et indomptables. Du long combat avec son monde intérieur. Que tout seul il n'arriverait pas de s'inculquer une discipline pour retrouver de solides repères dans sa vie. J'ai appris alors sur le coup qu'il rêvait de frotter sa virilité jusqu'à la jouissance, la sienne, contre mes jambes gainées de ces belles cuissardes toutes lisses.

C'est fascinant à quel point l'écoute attentive réussit aux grands garçons !

Mon mari était dans tout ses états après sa houleuse confession. J'ai profité de la situation pour pousser plus loin ma curiosité. En examinant d'abord lentement et soigneusement la superbe cravache. Il s'est empressé de me dire à quel point il me trouvait attirante avec un tel instrument en main. Sans oublier de me sortir tout le mal qu'il pensait de notre martinet. Un flot de mots trahissant ses arrières pensées sur la très sévère éducation que je lui applique. Un grand garçon touché dans sa fierté de devoir faire sien le geste de baisser son pantalon et son caleçon à chaque fois que je décide le rappeler à l'ordre. Il en ressortait qu'il éprouvait ce traitement comme justifié, mais déshonorant par l'emploi d'un martinet à bon marché. Évidement, Édouard ne manque pas de goût de luxe dont je suis selon ses mots la plus belle preuve. Malheureusement pour lui, je lui fis part de ma détermination de maintenir en place une équipe qui gagne.

Tu seras éduqué au martinet, Édouard, tant que tes fesses en auront besoin ! La cravache n'est pas encore pour toi.



lundi 13 juillet 2015

Discipliner son mari de manière saine 3 (petite fiction; j'insiste!)

Du calme mon chéri, tiens ta position pour la vaseline. Tu ne voudrais tout de même pas que je te passe l'appareil de massage à sec, non ?

Malgré ses allures sévères et son intransigeance sur les punitions, la belle dame se veut une épouse aimante. Soucieuse du bien-être de son mari, ses directives et actions ne manquent pas de tendresse et de chaleur humaine. Et justement de la chaleur humaine, le mari - sous peu - va en recevoir beaucoup. Une correction de plus claquante par un douloureux passage du martinet sur ses fesses. Au début de leur mariage, madame a été perplexe en découvrant l'obscénité flagrante, générée par ce rituel. Se trouvant devant l'insolente gaule de son mari, à l'image d'un « matin triomphant », si cher à Victor Hugo. De plus, outre que jumelant un fessier, vivement strié et une tête rouge de malaise, Monsieur n'a pas tardé de pousser des cris d'inconfort. Alors Madame, voulant épargner à son mari toute ambiguïté commençant par le cris avec un pitre spectacle d'un authentique coq en rut, avait décidé d’instaurer - sur conseil médical - la détente préalable par voie rectale.

Pour le monsieur c'est le petit répit avant sa sanction. Habitué à ce procédé, il se laisse faire. Il n'y a personne pour pouvoir témoigner de son déshonneur. C'est déjà pas mal. Puis madame sait s'y prendre. Pas de geste brusque et une lubrification parfaite, permettent d'effectuer facilement et rapidement tous les gestes nécessaires pour que Monsieur puisse profiter de sa discipline sans qu'une érection vienne troubler son concentration.

Une érection pendant sa punition ? Mon mari n'est pas un vicieux,

...a-t-elle confié récemment avec fierté à sa meilleure amie. Cette dernière n'avais jamais tardé de complimenter le comportement exemplaire du mari sans trop comprendre comment un tel miracle puisse se produire de nos jours. Alors un jour propice, Madame a parlé du bienfait de la fessée sur un grand garçon. Or l’amie, familière avec ce châtiment, enduré jadis en sa présence par ses grands frères, avait pointé justement sur le redoutable effet secondaire en fixant des yeux notre mari qui ne savais plus où se mettre. De plus il fut vite amené par son épouse pour avouer son approbation de l'emploi du martinet sur sa personne.

Mieux vaut avouer mes rendez-vous avec martinet que mes séances de massage,

avait-il pensé pour se rassurer. Et le pense encore ce jour-là pendant que son épouse crée...

...de saines conditions pour sa punition.

Ainsi subira-t-il plus tard sa claquante sanction sans vils écarts de comportement. Ses fesses tendues, prêtes à endosser une discipline traditionnelle, il commencera très vite à transpirer sous l'effet des lanières du martinet. L'oreille tendue aussi, pour détecter le moindre sifflement du cuir, il ne lui échappera pas la respiration haletante de son épouse. Et il donnerait cher pour pouvoir lui passer sa main sous sa jupe pour

vérifier, si elle aussi ne se rend pas coupable de réactions indécentes de son corps.

Malheureusement le moment est mal choisi. Les yeux droit devant, il faut d'abord payer le prix de son insolence ! Se jurant de ne plus contrarier son épouse inutilement. Cependant il sait que le soir venu, Madame va montrer un entrain particulier pour les caresses conjugaux. Pour une fulgurante finale avec lui en position par dessus. Obligatoirement, vu le piteux état de ses fesses...

mardi 7 juillet 2015

Discipliner son mari de manière saine 2 (petite fiction)


Un préservatif mon chéri  ou puis-je compter sur ton sérieux pendant que nous travaillerons sur ton comportement ?

En mettant l'accent sur le mot « sérieux » elle fait allusion aux petits accidents de parcours, déjà survenus, qui tachent et qui fâchent par ce fait. Trahissant selon elle une attitude malsaine envers la discipline cul nu.

Non, hors de question que Monsieur prenne du bon temps en profitant du passage du martinet !

Et pendant qu'il déroule honteusement la petite chose caoutchouteuse, si étroite, autour de sa virilité, il ne peut s’empêcher de la comparaison avec l’étroit couloir de son épouse. C'est par là que se passent une bonne partie de leurs rapports conjugaux. L'épouse affectionne la contraception naturelle. Hélas, le tube de vaseline qui se trouve entre ses mains, va servir aujourd'hui à un autre emploi, moins réjouissant, moins glorieux. Surtout pour un homme comme lui, ne manquant pas de virilité dans sa présentation et de sa façon d'être.

Et maintenant les yeux droit devant et les mains au bon endroit mon chéri.

Veux dire écarter les joues du derrière pour exposer impeccablement ce petit endroit de l'anatomie masculine, susceptible à la pénétration et par lequel passe selon madame... l'égalité des sexes. Ce qui fait du bien à une petite dame, ne peut pas faire du mal à un grand monsieur. Rêve secret de Rousseau, être sollicité de présenter « l’objet honteux », lui par contre se sent plutôt embarrassé. Il regrette amèrement la perte de sa face et ne peut par conséquence que supposer ce qui se passe dans son dos. En imaginant le regard triomphant de son épouse qui commence ainsi un rituel bien rodé. Sachant qu'elle accorde une grande importance pour qu'il vaque « détendu » à sa correction. Jugeant un acte masturbatoire indécent comme préparatif dans une situation punitive, elle s'est renseignée auprès de son docteur, une dame fort énergique comme elle, pour d'autres solutions adaptés pour calmer les élan pervers de son mari.C'est ainsi qu'elle a pris connaissance de la technique du massage rectal par le biais d'un appareil vibrant qui peut concurrencer par sa forme et sa taille ce qui fait habituellement la fierté d'un homme. Essai concluant qui amène depuis régulièrement son mari...

...à décharger rapidement son fusil.

Expression apprise étant jeune mariée. Non, elle ne l'a pas appréciée du tout. Toutefois, elle peut se vanter de ses méthodes éducatives. Monsieur rougit désormais copieusement à chaque fois quand cette allusion fait surface. Et il en va de soi que ces mots n'effleurent plus sa bouche.

Mais oui, nous utilisons parfois des préservatifs ! N'est-ce pas chéri !

Il a horreur de telles confidences devant les amis et personne ne se doute pourquoi il se tait promptement quand le sujet vient sur la table. Madame tient scrupuleusement à la propreté du foyer. Et la boite de préservatifs dans la chambre sert exclusivement pour les grandes occasions. Chaque préservatif manquant, une correction de taille. Il lui arrive de faire les comptes pour évaluer ses besoin en matières de discipline. Se tenir convenablement n'est pas aisé vu les exigences de sa dame. Alors il essaye de visualiser ces progrès, le nombre de jour de ses bons comportements. C'est dur de dépasser le seuil de trois semaines sans punition. Le martinet commence à lui manquer. L'atmosphère à la maison se charge et devient irrespirable. Heureusement son épouse, familière avec les méandres de l'âme de son mari, juge inadmissible de laisser un homme plus de quatre semaine sans lui rappeler les bases d'une éducation stricte. Sinon il risque de perdre le réflexe de baisser son pantalon quand il le faut.

A suivre...

samedi 4 juillet 2015

Appliquer la méthode grecque


Non aucun rapport avec l'actualité !

C'est la faute de ces beaux messieurs en smoking et nœud papillon qui me donnent de vilaines idées. Je me verrais bien soumettre, dans mes rêveries de Maîtresse isabelle, mon chéri à un strict règlement de maison.

C'est toujours structurant pour un grand garçon de savoir où il en est avec sa dame.

De plus le dur labeur constructif lui évite de tourner en rond et de se glisser les doigts dans le caleçon pour passer son temps. Alors pour l’occuper dignement, je me verrais bien de le charger de 12 taches à effectuer de manière périodique. Seulement n'est pas maîtresse qui veut. Cela ne s'improvise pas en un claquement des doigts. Et j'ai vais avoir un certain mal pour lui trouver ses douze taches qui feront chacune l'objet d'un petit récit. J'ai commencé avec un petit texte sur les joies de cirer les escarpins de sa dame et il y aura aussi au programme le lavage des petites culottes, bas, guêpières, porte-jarretelles et autre choses qui mettent une dame en valeur. Toutefois il me manque encore des travaux à accomplir pour arriver à douze. Je cherche des idées... désespérément !

mardi 30 juin 2015

Discipliner son mari de manière saine 1 (petite fiction)

Un bon remède contre l'insolence des grands garçons

Je suis toujours étonnée de ces grands garçons avec leurs encore plus grandes théories révolutionnaires pour changer le monde et qui manifestent dans l'intimité de leur couple un enthousiasme pour un rituel dont personne n'aime se vanter. Ils éprouvent - malgré eux - une forte attirance pour ce qui leur fait honte à tête reposée. Et aucune pensée raisonnable arrive à clamer leurs ardeurs. Leur pulsion ne se laisse pas dompter et exige régulièrement son dû. Et cela se remarque. Suivez-moi pour jouer un peu aux voyeurs.

Je crois que tu cherches encore la fessée !

Puis, elle est déjà partie la belle dame pour se mettre - au cas où - le martinet à porté de sa main. Car quand elle le juge utile, trop agacée par l'insolence postpubertaire de son mari, elle n'hésite pas de sortir ce bon vieux instrument de pure tradition française pour un entretien de nature très particulière entre époux. Ce qui calme aussitôt les grands airs du révolutionnaire en herbe et le fait infailliblement rougir d'appréhension du traitement qui l'attend. Qu'il attend et qu'il déteste à la fois. Outre une douloureuse expérience pour son derrière, il soumettra sous peu son ego à une rude épreuve. Il pensera peut-être à son travail. Aux discussions « entre hommes ». Aux bonnes blagues sur ceux qui se font mener par le bout de leur nez par leur femme. Lui, il est mené au martinet. Et il saurait facilement réciter maintes leçons, durement retenues par la peau de ses fesses.

Tu l'as cherchée !

En route pour le moment de la vérité. Habitué à ce genre de remise en question, en protestant vainement et plutôt pour la forme, il lui incombe non seulement de baisser son pantalon, mais aussi son slip, pour se présenter convenablement préparé à la discipline conjugale. De quoi à ravir la dame qui ne se prive pas de remarquer :

Une fois cul nu, ils deviennent tout de suite plus modestes !

En lui appliquant une sonore et bienveillante claque sur les fesses. Fière de son autorité et pour renforcer l'effet pédagogique, elle lui impose un temps d'attente, de réflexion comme elle aime dire, plus ou moins long, avant de débuter le travail éducatif proprement dit.

Or, avec le pantalon et le slip autour des chevilles personne n'a l'air très malin.

Puis, la somptueuse présentation de l'épouse ne manque rarement son effet. Cela commence par les claquements de ses hauts talons sur le carrelage de la pièce. Tandis que les yeux du mari, sous l'emprise d'une fascination sans limites pour la féminité provocante, suivent la mince couture sur les bas et remontent une jupe crayon qui met savamment en valeur les rondeurs du popotin d'une élégante dame. Son regard, arrivera-t-il au chemisier blanc, intentionnellement choisi une taille trop petite ou cherchera-t-il les petites empreintes que laissent les jarretelles sous une jupe décidément trop proche du corps ?

Encore piégé !

Le mari, les fesses en l'air, ne redoute rien de plus que les caprices de la nature lui causent un embarras. En mettant son corps et surtout son esprit, habituellement si rebelle, au garde-à-vous. Car madame a le coup d’œil. Inutile de dire, que la discipline stricte envers les grands garçons occupe une place de choix dans ses rêveries depuis son enfance. Mais, et c'est ici que se trouve la particularité de sa méthode...

...elle souhaite que la correction de son mari se passe de manière saine !


A suivre...

mercredi 24 juin 2015

Trouver chaussure à son pied...

...quand on a des fantasmes... disons directives.

Étant souvent trop verbeuse dans mes posts, je suis ravie pour une fois de pouvoir boucler un sujet en peu de mots. Il suffit de comprendre quoiqu'on essaye de nous faire croire que l'égalité n'existe pas en bien de domaines. Il est bien connu que les messieurs qui souhaitent « diriger » une dame recourent aux ruses. Il suffit de lire quasiment n'importe quel blog de maître pour se rendre compte que pour attirer les dames le meilleurs moyens semble le blablatage. Enfin, il y a Monsieur Grey, mais bon les milliardaires, c'est une caste à part. Alors ceux qui ne sont pas Monsieur Grey se servent d'un discours plus ou moins habile, des tactiques pour nous faire rire, pour que nous nous sentons en sécurité, rassurées, comblées. Ils évoquant le plaisir, la jouissance, la plénitude, notre véritable moi, les capacités qui sommeillent en nous, mais aussi l'amour, complicité etc. Et à force de chercher la brèche (très freudien le truc), certains arrivent à la trouver et même de la combler. En fait, c'est toute une artillerie lourde qui demande parfois des années de mise au point.

Du coté filles pas besoin d'en faire autant pour trouver un homme à nos pieds. La nature se charge pour nous comme montre ce clip qui peut se passer des mots ! (Si quelqu'un connait ce film...?)


lundi 22 juin 2015

Comment se faire un ennemi

Petit plaisir pour les mes yeux !


Je ne suis pas particulièrement attirée par les messieurs qui s'habillent en fille, mais je suis sous le charme de cette photo. Pourquoi aurais-je honte d'ailleurs. Monsieur prend bien plaisir quand je lève ma jupe pour lui montrer que je suis en phase vilaine et que je fais grève de la petite culotte. J'aime beaucoup le contraste entre les jambes velues et cette un peu trop grande chose à mon goût, épilée de partout. Je trouve cela non seulement plus beau et plus appétissant, sans oublier l'aspect hygiénique. Je vois déjà les arguments de la ligue « anti-épilation » et leur, mais non, cela n'a rien avoir avec l'hygiène.

Mon œil !

Je me souviens d'une discussion que j'avais eu il y a quelque temps avec une copine (intégralement lisse comme moi) qui me parlait du calvaire pour nettoyer leurs toilettes car elle trouvait souvent sur la cuvette les traces du passage de son mâle : des poils !

Et toi, tu fais comment, isabelle ?

J'épile mon homme à la cire une fois par mois.

Elle a marqué un temps d’arrêt, car visiblement mon pragmatisme lui plaisait. Je n'ai pas oublié d'ailleurs de lui suggérer pour des toilettes « vraiment nickel » de penser aussi à la raie fessière et aux fesses de son homme.

Quelque temps après, j'ai remarqué que le monsieur en question me tirait une tronche pas possible.

Et depuis il ne peut plus me voir ! Petit constat. Je connais légion de messieurs qui ne jurent que par l'épilation intégrale pour les filles, par contre quand la fille demande la même chose ils se trouvent parfois maintes prétextes pour y échapper. Je sais de quoi je parle avec mon chéri, style : à mon âge, je n'ai pas l'habitude, si je dois voir un docteur...

mercredi 17 juin 2015

Ces messieurs qui rêvent d'une maîtresse sévère



(Bande d'annonce officielle du film)

Il n'est pas un secret que les fantasmes sexuels de ces messieurs m’intéressent. Pourvu que la présentation se fasse sans vulgarité et aussi sans vouloir m'impressionner par d'éventuelles performances, je suis d'une excellente écoute. Cependant il est très rare de tomber sur des messieurs qui se permettent « de baisser ainsi leur froc » devant une dame. Encore plus difficile est-il de tomber sur un jeune prince qui ose faire des confidences. Pourtant quand j'étais ado moi-même, je mettais le paquet pour les désinhiber. La réussite n'était que rarement au rendez-vous. Alors peu étonnant que cette bande d'annonce m'attire. Enfin un film qui met en scène, sous forme romancée, la curiosité sexuelle d'un jeune prince charmant, version James Dean, envers des fantasmes peu habituelles.

Visiblement, comme semble prouver cette histoire, pour connaître ce qui provoque les émois sous le caleçon d'un jeune homme...

...il faut une (très belle) dame mure qui sait se montrer en initiatrice.

Peut-être parce que une situation égalitaire entre deux ados, dans le sens d'un manque d'expérience des deux côtés, pose non seulement le problème de l'initiative, mais aussi comment s'y prendre concrètement. C'est le moment de la vérité. Bien de princes aimeraient entendre :

je te ferai, ce que tu voudras...

Enfin non, je n'ai pas encore tout bon là ! Voila ce qu'ils veulent entendre.

je te montrerai ce que je sais faire...

On revient donc à la mistress, sorte de superwoman qui elle maîtrise toutes les registres. Contrairement à notre séductrice débutante, qui ne connaît encore rien en travaux pratiques. Notons qu'il ne suffit pas de savoir manger un cornet de glace ou une banane pour faire monter au septième ciel un homme. Sans parler de l'art suprême de manier un fouet.

Tu connais rien toi sur le rôle d'une mistress, isabelle !

Euh... non, rien du tout !

Mon chéri, au même âge que le jeune homme de ce film, était encore en train de chercher sa vocation. Ses rêveries grouillaient de dames sévères qui savaient mettre de l'ordre dans son chaos de pulsions contradictoires. Dompter la bête en soi, veut dire toutes ses vilaines fantaisies, censées à faire rougir une fille sérieuse.

Comme si le filles sérieuses n'avaient pas d'envies sexuelles.... passons.

Et voilà, nous y arrivons ! Se dévoile ce qui m'excite particulièrement dans la thématique qui soulève ce film. Ce que je n'ai pas vécu quand j'étais ado, entendre un prince charmant avouer ses fantasmes les plus fous à la fille de son cœur. Je parle là essentiellement pour les constructions intermédiaires, les vraies fantasmes quoi, impossibles à réaliser pour de vrai, au mieux sous forme de jeu. Ce que retiens de cette bande d'annonce :

A croire que certains hommes, peu importe leur âge, parlent seulement sous la menace du fouet !

Ps : J'adore le coup de colère d'Emmanuelle Béart sur son escalier en faisant claquer le fouet. Je peux m'identifier à des tels états d'âmes, aussi , sans le moindre mal !


vendredi 12 juin 2015

Les rêveries érotiques de maîtresse isabelle (petits clips)

Ben non, je n'ai pas besoin d'une tenue aussi suggestive pour me mettre à rêver. D'ailleurs mes petites fantaisies tournent essentiellement autour de mes mes attentes envers le monsieur. Elle n'ont ni besoin d'une mise en scène particulière, ni besoin d'un endroit propice pour les déclencher. Cela peut m'arriver un peu partout. Pendant mes courses, dans une salle d'attente ou en revenant de l'école après avoir déposé ma petite.

Une de mes idées favorites concerne le petit déjeuner que mon grand garçon est censé de prendre tout nu devant moi. Pour bien commencer la journée il convient qu'il soit lavé, rasé (dans le moindre coin !) et coiffé.

Quand je lui parle de sa discipline, j’attends de lui une réaction charnelle, qu'il se mette au garde-à-vous.

Idem quand je lui présente un martinet ou autre instrument destiné à améliorer ses manières. Un réflexe que je souhaite naturel pour exprimer ainsi une attitude positive envers les méthodes à l'ancienne.

Rien n'est plus gratifiant pour une éducatrice qu'un grand garçon qui a la discipline dans le sang.

C'est au petit déjeuner que je lui attribue les taches pour la journée. Il n'est pas mon but de le transformer en robot ménager, mais je tiens qu'il accomplisse chaque jour un travail de grande utilité. Cirer mes chaussures, laver à la main ma lingerie fine, me couler un bain, me vernir les ongles des pieds, me passer sa langue dans mon entrejambe pendant que je regarde mes magazines pour dames. Mais aussi de m'écrire des odes vantant mon élégance, ma sévérité ou encore les vertus de l'éducation au martinet. En gros je tiens à une ambiance familiale, chaleureuse.

L'homme qui reçoit de ma main une éducation très stricte est et reste avant tout l'homme de mon cœur.

Je ne me vois nullement récréer l'ambiance de ce petit clip. Et loin de moi de rêver d'un atelier aménagé au sous sol pour des tourments de toute sorte nécessitant de dispositifs sophistiqués.



Passons enfin à ma garde-robe de maîtresse isabelle !

Le premier qui rigole se prendra un bonne fessée cul nu. Ben voilà, j'adore ce style sans toutefois l'exporter hors maison :




mardi 9 juin 2015

Quand le monsieur se plie à l'épilation intégrale


Ah ces maudits dieux du stade

Parfois il a besoin de laisser libre cours à ces émotions mon chéri. Lui qui est d'habitude si calme et réfléchi. Cela lui arrive par exemple quand - lors d'un repas avec de nouvelles connaissances - quelqu'un aborde la mode de l'épilation intégrale. Ô comme il n'aime pas ce sujet. D'abord, il essaye de le changer délicatement. C'est peine perdue. Rare sont les personnes qui manquent de l'intérêt pour cette matière. Alors il tente de se faire invisible pour que surtout personne ne lui demande son avis. Et quand on lui demande son avis, il reste très vague et se retranche pour attirer encore plus la curiosité... avant de pousser un cri de cœur :

C'est à cause d'isabelle....

Stupeur, puis fou-rire général. Piégé, le pauvre ! Celui apprendra de lâcher de telles sornettes. Tout le monde a compris, sous son caleçon Monsieur est aussi lisse qu'un fessier de fille et ceci sur l'initiative et l'insistance de sa petite dame. Qui par la même occasion passe pour une sacré coquine. Sans oublier de faire valoir que chez nous il n'existe pas de problème avec les petits poils aux toilettes qui trahissent le passage du mâle de la maison. L'ambiance devient de plus joyeuse et je ne me prive pas parler de mon âme d’esthéticienne qui avec des mains bien adroites applique une fois par mois sur la peau préalablement talquée de son chéri une bonne couche cire qui - une fois retirée - laisse la peau dépourvue de toute mauvaise herbe. Non, non, ce n'est pas douloureux, enfin la première fois oui.

Te souviens-tu, Chéri ?

Bien sûr qu'il se souvient. Et sans s'en vanter, ils se souvient aussi que c'est le premier vendrédi du mois que je m'occupe de lui. Que je vienne le chercher dans son bureau quand c'est l'heure du rendez-vous. Et que je prenne un malin plaisir de l'avoir bientôt tout nu devant moi, tandis que moi j'opère dans une très courte blouse blanche qui découvre le bas de mes fesses à chaque fois que je me penche en avant. A ce propos, j'ai placé judicieusement le récipient de la cire chaude à une hauteur adéquate pour permettre à mon « patient » de pouvoir se rincer l’œil à sa guise. Stratagème de plus pratique, car un solide garde-à-vous facilité la délicate tache. Nous sommes entre nous, à la maison, pas besoin de priver le corps de ses naturelles réactions.

Il en va de soi que je tienne aussi à un entrejambe net. Il faut donc adopter une position adéquate pour présenter convenablement le sillon du cucul. l ne fait pas le fier et reste digne. Digne aussi quand pour clore l'opération, je lui applique un petit lavement pour donner à son soin de beauté la petite touche de bien-être. Comme bien entendu, je me sers dans notre jolie panoplie d'embouts, initialement créés par ses soin pour...

...ton confort isabelle !

Et c'est vrai, j'adore aligner cette série de « rectal dilators »percés et préparés » pour pouvoir les munir facilement d'un tuyau qui rejoint notre magnifique broc émaillé aux motifs fleuris. Notons que ce genre d'habitudes était assez fréquent dans un certain milieu allemand avec un penchant « retours vers la nature » en pratiquant mono-diète, voire jeune et lavement pour un ventre de plus plat (Et cela marche à le merveille ceci dit). Voila tout un sous-entendu qui restent évidement entre nous. Je ne vais pas aussi loin dans mes confidence devant un public à la maison. De plus … nous sommes à table !


Même en restant à la surface des événements, je réussie à libérer agréablement mon sadisme, habituellement refoulé. Il s'accumule régulièrement a force d'une discipline très stricte à laquelle mon homme tient beaucoup, à force de marcher sagement au pas comme il aime ajouter et à force de tendre mon fessier pour chercher absolution et amélioration de mes mauvais comportements.

Je pense que ces tensions supplémentaires sont inévitable dans une relation de discipline domestique. Et malgré mon besoin de punition qui réclame son dû, il ne faut pas sous-estimer les effets secondaires de son traitement. Alors mon homme me laisse faire devant les invités et au cas où il me trouverait abusive, il peut compter sur le martinet dans le tiroir de son bureau pour m'aider à rafraîchir les limites à ne pas franchir en public. Mais, disons-le, mon éducation stricte porte ses fruits et en bien de domaines...

...t'affiches un comportement exemplaire,isabelle !