dimanche 8 février 2015

De la discipline pour mon mari 5


Oh ce vilain Georges-Henry !

Vint d'abord le récit d'un nouveau tour en mon absence dans mon tiroir de lingerie pour s’imprégner de l'odeur de mes bas et de mes petites culottes. Avec cette fâcheuse tendance de se frotter ses parties intimes avec mes jarretelles pour leur aspect rugueux, mêlé de douceur satinée. J'ai beau à le punir, même avec la canne, il n'arrive pas à renoncer à ce vice.

Ayant été pendant longtemps engagée dans l'armée, en charge du drill de nouvelles recrues, je sais l’exercice hautement bénéfique pour combattre l’oisiveté. J'ai tenté donc dans le passé de faire marcher au pas mon mari pendant des longues heures. En lui apprenant, tant qu'on y était de saluer de manière impeccable on claquant ses talons. C'est un plaisir de le voir faire sienne cette discipline qui dénote tant de ses grands discours d'antan sur le ridicule de ceux qui se soumettent sans broncher à une autorité. Grâce à mon travail il admet enfin volontairement :

Tu avais raison, Éléonore. Il n'y a que le martinet qui me fait progresser !

J'ai cru comprendre, vêtue de mon tailleur uniforme, coupé au plus près de mon corps, d'attiser encore plus ses élan amoureux. Et imaginez mon étonnement quand il m'a audacieusement soufflé, le soir au lit, dans l'oreille si je ne comptais pas aller chez le coiffeur pour me refaire ma coupe à la garçonne que je portais à notre rencontre. Réveillant le souvenir de mes émois sensuelles quand il me passait la mains sur ma nuque parfaitement dégagée. Mais réveillant surtout ma terrible jalousie à chaque fois quand je l'ai cru contempler l'une de ces provocantes créatures à la longue chevelure flottante. J'ai compris alors des années plus tard ce qui l'avait tant séduit en moi.

Puis il m'a rappelé mon sifflet pour cadencer les exercices de mes recrues. Je n'ai pu m’empêcher de penser à tous ses jeunes hommes musclés qui transpirèrent à grosses goûtes sous mes ordres. A mes tours d'inspection les plus imprévues dans les douches et vestiaires. Voir se dresser à porté de main et au garde à vous devant moi des beaux mâles, nus de la tête au pied . Leurs yeux droit devant comme indique le règlement, tandis que moi j'inspectais sans la moindre gêne ce qui les distingue des filles. Je me souviens à quel point j'étais troublée quand je rejoignais mon lit et de mes inavouables fantaisies qui me harcelèrent. Car déjà à l'époque j'aurais bien aimé de pouvoir recourir à la discipline corporelle. Seulement je n'étais pas encore prête pour passer à l'acte.

Ceci me passant par la tête, j'ai compris que Georges-Henry était le mari qui me fallait. Et pour parfaire mon bonheur, j’accepterais avec joie la mission de transformer aussi sa mollassonne bande de copains de foot en un bataillon de choc, dévoué aux service des dames.

Malheureusement ma sentimentalité affectueuse fut gâchée par l'aveu d'un achat d'une revue sur papier glacé, dédiée à la gloire et au charme de dames sévères. Au premier abord c'est motivant et flatteur à la fois de savoir les rêveries intimes de mon homme s'imbiber de ses conditions de vie. Ce qui est nettement moins réjouissant ce sont les traces d'un honteux acte d'autosatisfaction étalés sur un bas de dos féminin, dépourvu de tout vêtement, étroitement lacé par un corset. Et quand je lui ai posé la question sur les raisons du choix de sa cavalière virtuelle, il m'a avoué une vénération particulière pour un bijoux que portait cette dame pour cacher de manière aguichante – et je pèse mes mots - l'endroit le plus honteux de son anatomie. L'endroit que je ne nommerai point et que j'expose d'habitude uniquement à mon esthéticienne pour une soigneuse épilation à la cire, me garantissant une hygiène corporelle irréprochable, même dans mes zones les plus reculées. Traitement que je trouve extrêmement agréable et qui m'a confirmé une forte sensibilité quelque peu gênante à admettre. En fait, je me suis aperçue de ce caprice de ma nature. Car ma nervosité quand j'étais en train de punir mon époux m'envahissait toujours de ce côté-là. Je confirme donc, ce n'est pas une légende urbaine, le goût de la bonne discipline passe chez certaines personnes par la voie rectale.

Pour calmer ces drôles d'ardeurs j'ai essayé d'abord sans grand succès des lavements à la camomille. Puis en confiant mes mésaventures à une copine, elle a attiré mon attention sur ces choses, quelque peu obscènes, mais parfaitement étudies pour procurer une agréable détente de cet endroit, combinée avec un confort inégalé qui permet un port prolongé. Et depuis, parfois quand Georges-Henry me trouve particulièrement tatillonne et coincée dans mes attitudes, je me réjouis du soutien stimulant de mon achat.

Alors oui, ce jour-là, confrontée à cette dame sur papier glacé, je me suis sentie trahie dans mes secrets intimes.

dimanche 1 février 2015

De la discipline pour mon mari 4


Il a suffit d'un seul regard de ma part, pour arrêter Georges-Henry dans ses élans et j'ai su aussitôt que le moment d'agir était venu.

Et depuis il à dû apprendre, petit à petit, à se plier à mes principes d'éducation. Je garde toujours un souvenir ému de sa première punition au martinet. De voir mon tendre mari, rougissant de honte, baisser son pantalon, se plier sur le dossier de son fauteuil de foot et de recevoir - au lieu de sa habituelle bière et des ses éternel chips - une belle série corrective sur son auguste postérieur à faire honneur à un manuel d'éducation traditionnelle. Dommage qu'il n'y ait pas de groupes de supporteurs féminins qui se déplacent pour ce genre de spectacle, avides de ne pas louper la moindre miette. Filles décomplexées qui applaudissent claque coup à sa juste valeur et qui discutent le bienfait de l'éducation masculine. Compétitions internationales avec des messieurs, les shorts aux chevilles qui chantent l'hymne nationale de leur pays en exhibant la nudité de leur derrière avant de chanter l’internationale de ceux qui n'en peuvent plus tellement ils ont mal aux fesses.

Cette première correction avait eu un superbe impacte sur le comportement de mon mari. Il s'est tenue au carreau pendant des semaines! Et il a suffit seulement que je mentionne de temps en temps le martinet pour qu'il cesse aussitôt tout genre de contrariété à mon égard.

J'ai trouvé cette expérience fort agréable et elle a largement alimenté mes petites rêveries en prenant une tournure qui me donna sueurs et frissons à la fois. Au point de me montrer particulièrement demandeuse de câlins conjugaux au grand étonnement et plaisir de mon mari. Sans manquer d'encourager dignement mon tendre époux à chaque fois :

Tu vois mon chéri comme les grands garçons sages m'inspirent. Il serait vraiment dommage que tu me déçoives par des incartades, non ?

Et lui, tout feu tout flamme comme à nos débuts, ne manqua pas de me souffler dans l'oreille :

Tu n'as qu'à me corriger sévèrement quand je le mérite, Éléonore.

J'ai pris alors pleinement conscience qu'il me ne tardait rien de plus qu'un nouveau faux pas de la part de mon mari. Et qu'alternativement rien mis à part d'une conduite irréprochable de mon chéri ne s'opposait pour recommencer cette … jouissive expérience éducative.

A chaque fois que je décroche le martinet, je suis donc bouleversée par une multitude d'émotions contradictoires. Il y a une sorte de déception par exemple quand je me trouve devant un écart de comportement recourant, déjà puni à maintes reprises. Je me sens volée des fruits d'une longue et rigoureuse éducation. Situation qui sent de loin le roussi pour les fesses de Georges-Henry. Car c'est ma fierté et mon ambition personnelle qui se réveillent avec véhémence. Je me pose des questions sur mes méthodes punitives.

Quel entraînement lui faudrait-il pour éviter les récidives ? Quel nouveau châtiment appliquer pour mieux souligner mes exigences ?

Je me pose aussi -parfois inquiète, parfois amusée, parfois enthousiaste - des questions sur cette petite voix intérieure qui me suggère un règlement de plus en plus strict que Georges-Henry doit respecter scrupuleusement. Et bien que je sois une personne méthodique qui progresse généralement avec la tête au calme, dans ce contexte précis je me heurte à mes propres limites. L'idée de faire la fête au postérieur de mon homme me procure un effet de plus aphrodisiaque auquel je ne peux que difficilement mes soustraire. Car effectivement Georges-Henry avec l'éducation qu'il à déjà reçu de ma part, commencé à se montrer très friand d'apports réguliers de discipline comme d'autres se montrent très friands...

...de bonbons !

Le martinet en main, je marque un temps d’arrêt et j'essaye de pratiquer une fulgurante autocritique. Vaine tentative devant un envahissement par cette excitation, surgissant de partout et de nulle part que....

..je ne saurais qualifier autrement à ma grande confusion que de nature profondément perverse.

Impuissance avouée qui a pour effet de me mettre en colère. En principe contre moi, mais j'ai peur que cette dernière s'ajoute à mes ardeurs pendant la correction à venir et que ce soit le fessier de mon mari qui paye les frais comme on dit. D'où mon habitude (ce n'est pas la première fois que je me sens aussi nerveuse) de confesser mon mari avant sa punition. Ce jour-là sa mauvaise conscience lui pesait particulièrement et j'ai ressenti son réel besoin de la soulager. J'ai appris alors bon nombre de méconduites, chacune à elles valant toute seule une correction exemplaire !