mercredi 30 mars 2016

Remise dans le droit chemin 11 (petite fiction)

En gardant le suspense sur le jour exact de sa confession, Édouard commence à préserver ses énergies.

Au lieu de céder au plaisir facile, il apprend la patience dans l'attente d'un bien mieux. Le bienfait se voit et se sent littéralement quand il se déshabille pour mettre sa jouissance entre mes mains. Mon gentil Édouard en en train de s'endurcir. C'est un début encourageant sur le chemin de la maîtrise de ses pulsions. L'abstinence volontaire a pour effet qu'il se réveille le matin presque systématiquement avec une belle érection que je ne cesse de complimenter.

Au fil du temps je me suis rendue compte qu'il à une disposition à la mauvaise conscience qui se manifeste par des « omissions » dans ses confidences.

Depuis il m'est facile de cerner quand il faut insister. Je suis tenace et je prend le temps pour qu’Édouard sorte vraiment soulagé de sa confession. J'ai appris ainsi que ces actes de masturbation sauvage le travaillent beaucoup. Dans ses rêveries il se voit m'impressionner par une chasteté exemplaire hors nos têtes-à-tête en amoureux. Fort heureusement, car je trouve contraire à mon image de la virilité un homme qui se cache pour prendre du bon temps. Je considère cet acte en quelque sorte comme une trahison en couple. Malgré une nette amélioration, il lui arrive de se montrer défaillant. Nous avons évoqué de différentes stratégies pour y remédier, allant d'un recours aux châtiments corporels traditionnels pour grands garçons nerveux à l'acquisition d'un dispositif qui empêche toute manipulation. Pour l'emploi de ces derniers, malgré leur aspect élégant et discret, je ne puis m’empêcher d'y voir une solution de facilité. Sans doute utiles pour les situations ponctuelles ou pour une mise en place plus rapide de nouvelles habitudes, je songe encore sur leur emploi. Laissant mon Édouard dans une frissonnante incertitude qui semble beaucoup l'inspirer. Il m'en parle souvent sur l'oreiller. Je crois que l'idée de porter ce genre de dispositif le sécurise.

Mais rien ne vaut à mes yeux les méthodes qui demandent effort et sueur comme un rigoureux entraînement de la volonté sans recours aux artifices. Pour un résultat durable, mieux vaut essayer de comprendre d'abord les situations de dérapage pour pourvoir ensuite plus facilement y remédier.

J'ai trouvé que la frénésie masturbatoire de mon financé se déclenche à l’évocation de certains fantasmes qu'il cultive dans son jardin secret.

Il suffisait alors de couper l'herbe sous le pied. Par exemple depuis que je porte des bas, Édouard semble libéré d'une de ses tentations majeures. Au lieu de se cacher au petit coin en prétextant une constipation passagère, il rode à proximité de moi pour se rincer l’œil. Cela prend forme d'un agréable jeu de séduction. Je m'amuse à croiser mes jambes de manière provocante ou de me pencher bien en avant au lieu de m’accroupir quand je cherche quelque chose dans un tiroir de plus bas. Stratégie qui paye, car le soir je retrouve mon Édouard en super forme. Je me suis également rendue compte à quel point il est utile de caser le samedi après-midi mes achats de lingerie fine ou tout simplement de mes bas. Il y a l'effet de carotte et sans le moindre scrupule il fait défaut de compagnie à ses amis de fac.

Puis le samedi est devenu aussi le jour de sa fessée hebdomadaire. Édouard y tient beaucoup, trouvant fort structurant cet événement. Depuis peu sa confession ne porte plus uniquement sur ses fantasmes et activités de vilaine main, mais nous passons aussi en revue ses élans en vu d'une carrière professionnelle. Et à ce niveau le bilan reste hélas encore décevant.

J'ai commencé donc de lui faire prendre conscience que la fessée peut aussi s'utiliser pour canaliser ses ambitions sociales dans la bonne direction.

A suivre

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Épisode 6 Une jolie cravache


Épisode 8 Fessée et sodomie


mercredi 23 mars 2016

Remise dans le droit chemin 10 (petite fiction)

Ne traîne pas trop aujourd'hui avec tes copains, mon chéri. J'aimerais que tu te confesses ce soir !

C'est un argument qui fait mouche. J'ai compris l’appât que présentent pour Édouard nos petites séances très intimes. Dans l'espace de quelques semaines, j'ai donc appris enfin comment m'assurer de sa ponctualité. C'est un gros pas en avant. Je le laisse choisir librement le sujet et je me contente essentiellement de l'écouter. Sans jamais le gronder. Il m'importe beaucoup qu'il ne se sente pas jugé quand il me parle. Son adolescence est un sujet intarissable. Le plus souvent cela tourne autour de son manque éprouvé d'une main ferme pour le garder sur la bonne route. Situation qui a envahi sa libido et qui par l'impossibilité de satisfaction l'a embarqué dans des rêveries de plus en plus extravagantes où apparaissent donc ces fameuses dominatrices de ses lectures inspirantes.

Pour ses envie disciplinaires, il a essayé pendant longtemps de se mentir à lui-même. Ainsi s'est créé un conflit entre son monde intérieur et le monde extérieur avec comme symptôme des comportement les plus chaotiques commençant par un refus de toute autorité et de toute contrainte. Avec un très mauvais résultat concernant la préparation de sa carrière professionnelle. Pour redorer son blason, en cédant à l’appel de sa fierté, il avait inventé secrètement des histoires rocambolesques dans lequel le héros tombe dans les mains d'une dame décidée qui lui demande de grandes épreuves. Certes c'est revalorisant, mais sans la moindre conséquence sur le cours de sa vie réelle. Évidement au lieu de sauver le monde, il est nettement moins glorieux d'accepter tout simplement comme lui suggère à juste titre sa libido de baisser son pantalon et son slip pour se faire rappeler copieusement à l'ordre de manière très traditionnelle. Enfin, il suffit parfois que l'idée se fasse petit à petit.

Heureusement nous avons mis en route notre rituel de la fessée du samedi, Marie-Hélène.

Il n'a pas manqué de m'exprimer sa gratitude. Il sait que je ne me moque pas de son désir. Bien au contraire ! Je lui permet de le transformer dans un événement conjugal. Je prends très au sérieux la partie qui m'est attribuée en le rappelant souvent pendant la semaine de bien surveiller son comportent. L’allusion qu'il va se prendre une sacrée déculottée le stimule instantanément. Pas encore dans le bon sens, car les choses bougent essentiellement sous son pantalon. Toutefois en verbalisant ses inhibitions, les bonnes habitudes commencent à s'installer. Je sens qu'il est en train de faire sien le réflexe de me tendre ses fesses nues à chaque fois que je lui demandera.

Ses confession établissent le lien entre mes désirs et les siens.

Pour délier efficacement sa langue il a besoin de se trouver dans une nudité intégrale tandis que moi je reste habillée... au début. Petit contraste qui ne manque pas de lui faire de l'effet. A moi aussi d'ailleurs. Le symbolisme de la nudité le sensibilise à mes attentes. Je souhaite qu'il s'ouvre à moi pour des confidences le plus intimes.

Mais quid pro quo au fer à mesure qu'il me dénude son âme, je lui dénude mon corps.

Le surprenant avec de jolis sous-vêtements, de nouvelles « coupes » de ma toison intime et des points de vue de plus insolentes de mon anatomie. Par contre pour que j'enlève mes gants de velours, il faut vraiment qu'il arrive à m'étonner. Quoiqu'il en soit, gant ou pas, il apprécie beaucoup que je le masturbe pendant sa confession. Il se sent rassuré et entre de bonnes mains, si j'ose dire. Il est très friand de ce jeu en adoptant la devise d'un vrai scout. Toujours prêt quand je lui souffle un tendre:

Édouard j'aimerais te voir tout nu dans un petit quart d'heure.

A suivre...

dimanche 20 mars 2016

Se faire surprendre par la belle-mère




Fesser le monsieur avec un poireau, il fallait y penser !

L'inversion de la situation de la semaine dernière, cette fois-ci c'est la maman qui découvre les lubies fantasmatiques de son fils. Non, il n'est pas gentil de se moquer des fantasmes des autres, mais j'adore le côté hilarant de cette situation. La maman reste très à l'aise et montre bien que les parents aussi, contrairement à ce qu'imagine l'enfant ont une sexualité qui ne rentre pas forcement dans les normes. Seulement, le grand enfant, lui, se sent mal à l'aise que sa mère découvre son secret. Étant maman moi même, je dirais d'abord que je ne rentrerais pas chez mon enfant sans frapper à la porte, car je respecte sa pudeur. Par contre je verrais ses fantaisies émoustillantes plutôt comme une expression de son individualité et non pas comme une étrangeté  inquiétante. Voilà qui me fait dire que l'on connaît parfois mal ses parents.

Je profite pour mettre à jour mes liens permanents :
















mercredi 16 mars 2016

Remise dans le droit chemin 9 (petite fiction)


Plus tard, dans l'après-midi, je me suis trouvée toute seule devant le goûter. Édouard n'étais pas revenu de sa sieste. Pourtant je lui avait dressé une jolie table de circonstance. La cravache juste à côté de moi, pour souligner mon nouveau statut d'éducatrice. J'ai dû attendre longtemps avant de voir l'arriver. Il avait encore très mal aux fesses, ce qui me réconforta dans mon dosage. Mais surtout il me semblait très gêné par ce qui s'était passé. Je n'aurais jamais cru que dans un tel cas, il se cacherait au lit. C'était le fou-rire qui me guettait. Voila qui le déstabilisa encore plus. Je l'ai vu rougir quand son regard s'est posé sur notre cravache. J'ai essayé donc de le mettre à l'aise.

Il n'y a pas de honte de se prendre une bonne fessée de temps en temps, mon cher Édouard ! Tu en avait besoin depuis si longtemps. N'est-ce pas ?

Au fond de moi, je savais très bien que ce ne sont pas les bonnes paroles qui délient la langue d'un grand garçon qui porte un lourd secret. C'est le contact charnel qui lui procure un sentiment de sécurité, propice aux confidences. Je suis allée chercher un flacon de lotion apaisante et avec un petit geste je fit comprendre à Édouard de baisser son pantalon et son slip. Je fus touchée par sa rapidité de s’exécuter. On aurait dit un bon réflexe acquis. Ensuite il a dû se pencher sur la table et je me suis installée derrière lui sur ma chaise. Quelle vive couleur afficha son postérieur. La fraîcheur de la lotion lui procura un soulagement instantané, accompagné d'un long gémissement. J'ai commencé à lui masser doucement ses fesses, non pas sans m'amuser de l'aspect cocasse de la situation. L'action de ma main lui fit beaucoup d'effet et je me suis aperçu d'un subite retour de sa virilité. J'ai agrandi alors le champs de mon massage en invitant Édouard de se laisser aller... je veux dire verbalement.

Il a commencé à me parler de son adolescence. D'une voisine qui en rien ne correspondait à son idéal féminin. Sèche dans sa façon de parler, brune avec de longs cheveux toujours attachés, elle dégageait indéniablement un parfum de rigueur de vie. Il avait une vraie aversion contre cette dame.

Non, elle ne l'avait jamais fessée, ni même le menacé d'une fessée.

Il n'y avait absolument rien de personnel dans leur lien de voisinage qui aurait pu créer un sentiment érotique.

Néanmoins le soir venu il se sentait irrésistiblement attiré par elle.

Dans ses rêveries sous la couette, il imaginait qu'elle le tira par les oreilles dans son appartement parce qu'elle avait un mot à lui dire. C'est ainsi que j'ai appris que dans ses premières fantaisies voluptueuses il se voyait sur les genoux de cette dame se prenant une sacrée déculotte. Puis à chaque fois sa pulsion assouvie (par sa vilaine main, cela va de soi!), il se jura de ne plus jamais recommencer d'évoquer des telles histoires. D'oublier la voisine et son univers troublant se trouvant derrière sa porte. Il essaya de penser à autre chose le soir venu. Hélas avec peu de succès. Pendant ce temps dans la vie de tous les jours, il devint de plus en plus timide envers elle. Surtout quand il croisa cette dame, l'objet de ces convoitises inavouables. J'ai compris alors que mon Édouard pour s’épanouir n'avait nullement besoin d'une compagne aux allures de Cendrillon, mais partageait avec le père de cette dernière le goût pour les dames de caractère. Voila qui tombait bien au bien au point que j'étais disposée de lui pardonner de me parler d'une autre femme pendant que j'étais en train de le masser. Mais j'ai compris aussi qu'il avait besoin d'évacuer ses démons et je me suis chargée qu'il quittât le lieu de sa confession avec une option... petit zizi.

A suivre...

samedi 12 mars 2016

Quand les parents font de vilains jeux



Je doute un peu que j’arrive à la cheville de mes parents en matière de « ré-créativité». Sous prétexte de libération sexuelle, veut dire le détachement explicite de la sexualité plaisir de la sexualité procréative, beaucoup de choses ont été essayées. Alors avec mes fantasmes bon enfant je me sens toute petite.

S'il y a un psy dans la salle qu'il s'abstienne de rire.

Ce petit clip publicitaire pose la question du regard des enfants à l'âge adolescent sur leurs parents. Période qui cherche à séparer le vrai du faux, de comprendre qui sont les parents en réalité en dessous de leur apparence. Bien évidement dans ma propre réponse il y a peu de place pour la métaphysique. Je dirais alors qu'un homme et une femme se sont aimés (du moins physiquement) et ont eu ensemble un enfant : moi. C'est ainsi qu'ils sont devenu parents et plus particulièrement mes parents. En dessous de cette trivialité se cache tout même une compréhension qui va un peu plus loin que le bout de mon nez et que j'exprimerais ainsi :

Entre mes parents tout genre de réalisation de fantasme me semble non seulement possible, mais permis.

C'est moi qui leur permet, concernant leur image de mes parents. Pourquoi leur plaisir suivrait un fil que moi je souhaite qu'il suive. Et si je les découvrais dans une mise en scène quelque peu délirante, j'aurai certainement un sourire bienveillant en pensant : Tant mieux s'il s'éclatent encore. Seulement je ne suis pas une ado, mais une adulte.

Alors quelle réaction j'aurais eu ado en les découvrant comme le couple du clip ?

Un grand soulagement ! En pensant, si mes parents peuvent le faire, pas de raison pour moi de me priver. Mais au lieu de la consternation des jeunes du clip, j'aurais eu envie de rire pour ainsi exprimer mon propre malaise dans mon fantasme à cette époque.

Retenons : Nos parents sont ce qu'il sont, pas ce que nous imaginons.

Et idem pour toute autre personne. J'ai pu parler avec des personnes ayant des fantasmes les plus divers. Et leurs fantasmes ne se lisent ni sur leur visage, ni dans leur présentation. Seul moyen de les connaître: Savoir écouter. Mais aussi de savoir mettre à l'aise une personne. En fait, concernant notre sujet il s'agit chez certaines personnes d'un non-dit, veut dire quelque chose que la personne n'ose pas s'avouer à elle-même. Le contenu n'est pas inaccessible comme dans le refoulé, mais considéré subjectivement comme très gênant et est par conséquence censuré.

Le fait de pouvoir communiquer librement autour du sujet avec une autre personne peut avoir des conséquences bien positives. Aborder en douceur un sujet n'engage à rien. Ni même de s'impliquer personnellement. Parfois le sujet revient sur la table avec quelques jours, semaines, mois de décalage. Avec plus de détails, plus de couleurs, plus de personnalisation...

jeudi 10 mars 2016

Remise dans le droit chemin 8 (petite fiction)

Je ne manquerai pas de te punir sévèrement mon chéri !

Pendant qu’Édouard rangea les courses, je me suis mise à l'aise en gardant une tenue sexy de circonstance. Débarrassée de ma jupe de tailleur, je suis revenue dans la cuisine avec notre nouvelle cravache en main. Il n'échappa pas à mon futur mari que mon ticket de métro tondu très court, parfaitement en vu sous l'arc de mon porte-jarretelles, avait la même taille que l'embout de la cravache.

J'ai eu droit à un très beau compliment pour ma nouvelle élégance, mais je n'étais pas dupe. L'heure n'étais pas encore au toucher. Il fallait d'abord travailler les manières de mon grand garçon. Je l'invita donc de se déshabiller entièrement. Il fut un peu étonné, me faisant maladroitement la remarque que la fessée s'appliquait le pantalon et le slip autour des chevilles et non pas tout nu. J'ai compris aussitôt ses réticences. Il était plus pudique que que je ne l'avais imaginé.

Mon cher Édouard, avec moi la discipline passe avant ta pudeur !

J'ai pris beaucoup de plaisir à le regarder se déshabiller devant moi. Visiblement il n'était pas très à l'aise pour exposer sa virilité bien tendue.

C'est pour moi ou pour la cravache ?

Comprenant trop bien mon allusion, il rougit et essaya de se tirer honorablement de l'affaire, m'avouant d'être pris au dépourvu et conquis par mon absence de poils.

Ce n'est que pour grands garçons ayant reçu une excellente éducation !

Il a dû admettre que la bonne volonté ne lui manquait pas, mais pour l'instant il lui restait de l'effort à faire. En comptant sur ma persévérance, peut-être allions nous entamer ce chemin ensemble. Voila qui me fit plaisir d'entendre et ainsi nous entamions le chemin vers le salon où je fis pencher Édouard sur l’accoudoir de son fauteuil télé. J'ai utilisé la cravache avec prudence. Je ne souhaite pas faire souffrir l'homme que j'aime, mais il me semble utile que l'effet d'une bonne fessée se maintient pendant quelques heures au moins. Il a donc reçu une belle ration et en entendant ses soupir je sentais un dosage parfait. Je ne l'ai pas envoyé au coin comme je prévoyais le faire bientôt, ni ai-je ajouté ce jour-là d'autres punitions comme le ménage ou encore une mission délicate comme le cirage du parquet. Non, je l'ai invité de se mettre entre mes jambes pour me donner un aperçu de l’habileté de sa langue. Puis mine de rien je lui ai fait remarquer à quel point une barbe de trois jours est préjudiciable à une peau douce comme la mienne. Bref, il a du se lever pour se raser avant de continuer. Toutefois pour lui signaler clairement mon désapprobation pour ce faux pas, je lui ai tendu seulement mon derrière. Et là surprise. Je me suis faite cajoler avec ardeur et appétit. Puis au bout d'une longue préparation , je lui ai senti une âme de grand explorateur. Mon Christophe Colomb, à la recherche de voies nouvelles, s'est glissé en moi. Il a montré beaucoup d'intuition et douceur. C'est ainsi que j'ai découvert avec volupté qu'il existe des moyens naturels pour apaiser une dame en proie de nervosité chronique.

A suivre...

mardi 8 mars 2016

Dompter la nature du mâle



Il faut se rendre à l'évidence que la pulsion sexuelle de certains grands garçons s'impose avec une telle force qui leur semble rendre impossible toute maîtrise sans aide extérieure.

La vielle sagesse féminine qui part du principe que les garçons ont plus besoin de discipline que les filles, me parait donc justifiée dans ces cas-là. Et comme nous apprend l’histoire, cela fait des milliers d'années que certains hommes se languissent d'une ferme main féminine.

Même l'esprit le plus brillant reste impuissant devant ses tentations.

Je pense notamment à Aristote, qui - du moins selon la légende - est l'ancêtre le plus connu de ces grands garçons qui ont développé tout une monde fantasmatique pour endiguer leurs embarrassantes pulsions. Notre grand philosophe s'est fait chevaucher par une magnifique jeune dame du nom Phyllis sous les yeux amusés du jeune Alexandre qui n'a pas encore acquis son surnom le Grand.

Sur un point théorique, pour élucider cette énigme de la nature humaine, Freud supposa alors qu'il existe un domaine au fond de nous qui échappe à notre conscience, aux bons arguments de notre raison, en l'appelant l'inconscient avec comme force agissante la satisfaction de notre désir. Cette force s'oppose avec ténacité à la volonté. Elle peut quand le terrain est favorable, veut dire si la personne n'arrive pas à trouver un compromis acceptable pour la satisfaire, entre en conflit avec l'idéal de soi. Cet idéal décrit en gros ce que l'on aimerait être au lieu de ce que l'on est. Évidement il n'est pas facile de devenir son propre idéal. Mais il y a des moyens de s’approcher. Comme disait Freud avec beaucoup de perspicacité, c'est la capacité de différer une pulsion qui augmente l'estime de soi. Par contre, s'il y a échec, il se peu que les propres fantasmes peuvent être vécus par un grand garçon comme source d'affaiblissement de l'estime de soi. Il fait tout pour limiter ses fâcheuses tendances. En vain !

En fin de compte il doit reconnaître que seul il n’arrivera à rien dans ce combat à armes inégaux.

Voila donc un terrain de plus propice pour la discipline conjugale qui elle justement consiste dans un apprentissage quand, où et comment une pulsion peut être satisfaite et quand il faut la différer. Elle sait que manque de discipline se manifeste par le fait de mettre les impératifs de la vie quotidienne de côté pour se consacrer à la satisfaction d'une pulsion au mauvais moment. Que ce soit la vilaine main ou les soirées entre copains, le résultat est le même. Un mécanisme néfaste qui peut déstructurer le quotidien d'un grand garçon. Certains en sont conscients, mais faute de compagnie dynamique, décidée de leur inculquer un changement de comportement, ils n’arrivent pas à se relever.

C'est en acceptant un coup de main salutaire que les choses peuvent bien s'arranger. Moralement peut-être critiquable, une telle pratique contribue à un équilibre psychique dont profitent certains messieurs et ne pas les moindres qui se rendent régulièrement chez une disons... éducatrice pour grand garçons. Pendant un long moment de l'histoire ils avaient les maisons spécialisées en éducation anglaise à leur disposition.

Enfin, ô combien il serait agréable pour bien de grands garçons de tomber sur une épouse
compréhensive qui leur prête main forte dans leur combat avec leurs vilaines pulsions. Désormais ce sera la dame qui décidera de la satisfaction.

Elle distribuera de bon points pour récompenser, mais ne manquera pas de sévérité pour punir l'écart du bon chemin.

C'est encore la nature qui indiquera au grand garçon que ce chemin est le bon. Il ressentira un fort effet libidinal pendant ses punitions. C'est le corps lui-même qui approuve que ce que lui arrive n'est que justice. De l'autre côté quelle fierté éprouve notre grand garçon qui arrive au bout de sa semaine sans avoir fauté. Félicité par sa dame, il sera dignement récompensé.

L'avantage de ce procédé est simple !

Il met une fin aux ruminations sur le bien-fondé de ces fantasmes, car partagés par la dame et apaisés par un judicieux système de récompense et de punition fondé sur le mérite ! L’énergie se portera désormais sur la réalisation de taches concrètes qui deviennent ainsi la raison sine quoi non de toute satisfaction pulsionnelle.


jeudi 3 mars 2016

Remise dans le droit chemin 7 (petite fiction)

Cette cravache offerte par Édouard me donna vite des idées indécentes

Elle dégageait une envoûtante odeur de cuir et causait - comme j'ai pu m'en apercevoir facilement par un petit essai – une vive brûlure sur la peau des fesses. Son manche tressé tenait bien en main et ressemblait par sa taille à un sexe d'homme, tandis que l'embout de la cravache sous forme de petit rectangle s'incrusta dans ma tête m'évoquant un vague souvenir d'une image que j'avais jugée particulièrement obscène.
J'ai mis un petit temps à cogiter avant de me rappeler d'une dame dans un des magazines sous verrou qui afficha en haut de son entrejambe soigneusement épilé ce genre de ticket de métro. Évidement cette déforestation volontaire ne cachait plus rien du mystère de l'anatomie féminine.

Je me suis dépêchée en l’absence d’Édouard de retrouve cette image qui me troublait tant. C'est en me passant le manche de ma toute nouvelle cravache dans mon entrejambe pour calmer mes émotions que je me suis posée la question de l'agrément au niveau des sensation que procure une réduction de la pilosité.

Surtout en imaginant mon chevalier galant avec ses fesses toutes rouges me passant sa langue pour me récompenser de ma sévérité.

Ou encore en me passant ses mains sur mes parties désormais toutes lisses, pendant qu'il me prouve sa virilité par un acte en levrette. Enfin, nous étions pas encore là, mais subitement j'ai compris l’étendu de possibilités de plaisir qu'offre le couple.

Il était donc convenu que le grand moment se passera le samedi matin matin après les courses. J'ai pris intentionnellement du temps pour me préparer devant un Édouard de plus en plus impatient. Toutefois j'ai su le faire taire en sortant de la salle de bain, maquillée et pomponnée et surtout habillée déjà de ma veste de tailleur. Manquait encore ma jupe et mon string. Ce qui a permis à Édouard non seulement d'admirer mes bas et porte-jarretelles, mais aussi mon tout nouveau ticket de métro, tandis que je faisait semblant de chercher mon string. Stratagème fort apprécié, car en me penchant ci et là, il put avoir un aperçu sous toutes les coutures de mon entrejambe désormais de plus glabre. Mon Édouard profondément troublé, c'est moi qui me suis chargée par la suite de conduire. En n'oubliant pas de mentionner mon mécontentent pour avoir été trop bousculée par son impatience au point de perdre mon string et être obligée de faire les courses en toute indécence sous ma jupe.

Tu n'a qu'à me punir sévèrement en rentrant à la maison, Marie-Hélène !

Je n'y manquerai pas mon chéri !

A suivre...